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mardi 15 juillet 2008

Légion d'honneur pour Ingrid Betancourt

Et si Désirdavenir Royal allait se faire retenir par ses amis Farc...

Ingrid Betancourt, une ex-otage franco-colombienne, libérée le 2 juillet, a été décorée lundi 14 juillet à Paris de la Légion d'honneur.
La Légion d’Honneur est l'une des plus hautes distinctions en France. Ingrid Betancourt l’a dédiée aux otages toujours aux mains de la guérilla des Farc, des marxistes révolutionnaires, amis de Hugo Chavez et d’Olivier Besansenot, des amateurs, comme Sa Cynique Majesté Royal, de ‘vent de révolte’.
"Cette distinction est pour tous ceux qui ont souffert de la captivité, ceux qui ne reviendront pas et tous ceux qui espèrent que vienne leur tour", a déclaré en espagnol Ingrid Betancourt, qui a reçu les insignes des mains du président français Nicolas Sarkozy.

Après s'être vue remettre par le président français un gros bouquet de roses, Ingrid Betancourt, chignon haut et robe violette agrémentée d'une broche représentant une colombe de la paix, s'est exclamée d'une voix émue: "habillée en femme, je redeviens peu à peu moi-même". Un destin de femme qui laisse l'amère Royal de marbre.
"Mon coeur se serre" en pensant "à mes compagnons d'infortune encore en captivité" et qui, après l'opération militaire colombienne qui l'a délivrée avec quatorze autres otages, "doivent être probablement encore moins bien traités", a-t-elle dit.
"Il faut qu'ils soient libérés très vite. Je compte sur vous, Monsieur le Président", a ajouté Ingrid Betancourt.

"Je pense à ceux qui ne seront jamais à nouveau ici. Parce qu'ils sont morts en captivité. Je pense à eux, parce que cette distinction, ils la méritent beaucoup plus que moi. Je leur offre à eux, d'ici, de l'Elysée", a-t-elle ajouté.

Le Président Sarkozy a rendu hommage à une femme qui a su rester "digne, droite, fière et courageuse", pendant ses "six ans et cinq mois de captivité aux mains de tortionnaires moyenâgeux".

Nicolas Sarkozy l'a invitée à rester encore en France, "où vous êtes bien, en sécurité, où l'on vous aime", a-t-il également assuré.
Il n’est pourtant pas sûr qu’une autre femme et mère de famille, partage cet avis, bien qu’elle s’autoproclame "digne, droite, fière et courageuse", également. Pour avoir rendu hommage à l’action de son ennemi juré, Ingrid Betancourt s’est gagné la haine indéfectible de la battue socialiste, l’amère Royal.

2 commentaires:

  1. C'est presque amusant si ce n'était aussi pathétique ce silence royal de la Royale autour de la remise de la Légion d'Honneur à Ingrid Bétancourt.
    Pas un mot, pas le moindre petit morceau de félicitations, pas la plus petite queue d'un embryon d'émotion saine !
    Mais qu'apprends-je ? Elle était encore sur France Inter, ce matin ?
    Décidément ,la cavalière voyage toujours sans aucune monture, seule sans aucun vilain méchant pour la contrarier.C'est qu'elle n'aime guère la contradiction, la belle du Poitou Charente ! Gare qu'un jour elle ne se perde définitivement dans les méandres du marais Poitevin.
    c974

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  2. Le matin du 14 Juillet, on a aussi peu apprécier l'élégance des femmes chefs d'état ou épouses de chefs d'état.

    Même "de loin", on distinguait en plus facilement la beauté naturelle et l'élégance des manières; on percevait également sur bien des visages, au-delà de la plastique impeccable, une intelligence et une "élégance morale" [Jack Lang] que n'aura jamais Mme Royal: c'est inné, et ça ne s'acquiert pas à coups de bistouris et de fiches mal préparées (par d'autres), mal apprises et mal récitées.

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