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mercredi 15 octobre 2008

Marseillaise sifflée : effet de la politique socialiste de la repentance coloniale

Un match bien peu amical contre la Tunisie : légèreté de réactions politiciennes
Le 6 octobre 2001, moins d'un mois après les attentats du World Trade Center, a lieu une rencontre entre les équipes de football de France et d'Algérie au cours de laquelle la Marseillaise est sifflée. Face au Maroc, "la Marseillaise" est a nouveau sifflée en novembre 2007. En octobre 2008, c’est un match amical qui est l’occasion des mêmes manifestations.

Lâam française d'origine tunisienne, interprète La Marseillaise. Elle est sifflée (Laam ou La Marseillaise ?) lors du match ‘amical’ France-Tunisie, le 14 octobre 2008 au Stade de France.
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La scène

Match après match, les joueurs de l’équipe nationale ont les lèvres gercées pendant l’hymne national : les dieux vivants donneraient-ils le ton ?… Les journalistes observent que « ce n’est pas la première fois »… Pour eux, pas de banalisation, l’incident et clos. Ce n’est pas ça qui va gâcher la fête…

Réaction de journaliste
« Cela n’a pas empêché la France de gagner largement », lâche aussi finement la journaliste Elise Lucet, présentatrice du service public sur France 2…
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http://www.dailymotion.com/video/x72xw4_marseillaise-sifflee-bravo-les-bleu_news


La journaliste Elise Lucet l’oppose à Bernard Laporte qui préconise de fuir les stades envahis d’imbéciles. La secrétaire d’Etat procède à quelques sains rappels (voir ci-dessous) …

Réactions politiques
  • Le député de l’Ardèche, P.Terrasse, a ouvert la polémique à l’Assemblée Nationale, en donnant une nouvelle leçon socialiste.
    Le socialiste n’a pas dû remarquer un détail, si toutefois il a suivi le match dont il parle. Pour son information, qui lui aurait épargné le manque de respect de son revers de la main à l’évocation du mérite de la chanteuse tunisienne, juste avant les hymnes, les noms des joueurs français avaient également été pris pour cible. Le plus conspué fut Hatem Ben Arfa, né à Clamart de parents tunisiens et qui avait opté pour la sélection française malgré les sollicitations de la Fédération tunisienne.
  • "Les sifflets sont inacceptables", concède mollement Razzy Hammadi, secrétaire national du PS.
    "En effet, même si la France a eu pendant des années une politique coloniale en Tunisie, même si les Français d'origine tunisienne, et plus largement les Maghrébins ou les Français d'origine maghrébine (...), sont trop souvent victimes de discrimination et de harcèlement policier (...) il n'en demeure pas moins que la République, en dépit de ses promesses non tenues, n'est pas à humilier en sifflant son hymne", écrit R. Hammadi.
    ""Bien au contraire, dans son idéal, (la République) est à l'opposé du régime de Ben Ali", écrit encore le secrétaire national du PS.
  • Le président du MoDem polémiquera en estimant que ce type d’affaire sert le gouvernement qui joue avec les émotions : pathétique, ce Bayrou.
  • "Il est désolant de voir que des Français aient pu siffler des Français", s'indigne Frédéric Lefebvre, un des porte-parole de l'UMP.
    "En sifflant les Bleus, c'est aussi des jeunes Français d'origine tunisienne ou algérienne qui sont sifflés. Quand on est adopté par un pays on respecte son hymne national", poursuit le député UMP.
    "Il est temps que comme le rugby et bien d'autres sports collectifs, le football utilise des supports modernes comme la vidéo pour clarifier le jeu et ses règles", lit-on encore dans le communiqué du parti majoritaire.

    Réactions gouvernementales
  • Fadela Amara donne le point de vue d’une femme “issue de l’immigration et des banlieues”
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    F. Amara : "des sanctions pour les imbéciles"
    envoyé par Ptite_Mule

  • Le Premier ministre, François Fillon, s’exprime sur RTL : "Il aurait fallu interrompre le match"
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  • Réaction du gouvernement annoncée par la ministre de la Santé et des Sports, Roselyne Bachelot (LCI) : à l'avenir les matchs, où l'hymne national serait sifflé, seraient annulés.
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  • 1 commentaire:

    1. La pratique des incendies de voiture a débté à Strasbourg, avec Madame Trautman,n, Maire de la Ville, et sous Lionel Jospin, Premier Ministre.

      Rien ne fut fait, sinon une dépénalisation (dont une autorisation) des actes de délinquance par Lionel Jospin, selon lequel il ne fallait pas parler de "délinquance" mais d' "actes non citoyens" ou d' "incivilités".

      Brûler des voitures devint une "tradition" Strasbourgeoise, et elle se répandit très très rapidement aux banlieues de France.

      Résultat de l'inaction du Gouvernement Jospin:
      - les habitants des banlieues honnêtes trouvent régulièrement leurs voitures, non plus simplement volées ou légèrement détériorées (vitre brisée pour voler quelque chose), mais détruites.
      - des millions d'euros ont été consacrés à la construction dans ces banlieues de centres sportifs ou de loisirs, que les bandes de délinquants (criminels endurcis dans l'immense majorité-- traffic de drogue, attaques à main armée, viols) auxquels ils étaient destinés s'amusaient à brûler sitôt construits (ou reconstruits après un premier incendie)

      - les centres sportifs et multimedia de luxe ne suffisant plus (c'est long à construire), ces bandes se sont attaquées aux écoles


      De la même manière, sous le Gouvernement Jospin, dont Marie-Georges Buffet étiat la Ministre des Sports, l'habitude a été prise de huer la Marseillaise et d'insulter les joueurs, ainsi que la tribuen des membres du gouvernement.

      Le 11 Septembre 2001, les Gauchards les plus extrêmes et les plus innommables se réjouirent des attentats fortment meurtriers aux Etats-Unis d'Amérique: d'Arlette Laguillier à Olivier Besancenot, en passant par Canal Plus et les Camarades journalistes-- tels Patrick Pujadas, qui s'était exclamé "Super!", heureux qu'un tel événement se produise alors qu'il était sur place, car cela lui permettait de faire la vedette, exactement comme Ségolène Royal avait déclaré à une collboratrice être heureuse d'avoir une affaire de pédophilie présumée à utiliser pour sa carrière.

      Quelques semaines après, l'usine AZF de Toulouse explosait.
      De très nombreux éléments, très caractéristiques, montraient clairement qu'il s'agissait d'un attentat.
      Pourtant, le Procureur, sitôt arrivé sur les lieux, avant même le début de l'enquête, décréta qu'il s'agissait d'un accident.
      Les hypothèses les plus invraisemblables se sont succédées depuis pour tenter d'expliquer "l'accident", à fort moyen d'un nombre extravagant de négligences, de fautes et de grandes coïncidences qui auraient du s'accumuler pour produire un tel résultat.

      A la même époque, le Gouvernement Jospin ne trouva rien de plus intelligent que d'organiser un match France-Algérie.

      Constater les origines d'un grand nombre des délinquants/criminels des banlieues n'est pas raciste; ces mêmes jeunes sont précisément recrutés, du fait de leurs origines, par les cellules terroristes, qui les expédient ensuite s'entraîner pour devenir des terroristes-- jadis pour le GIA, et depuis pour Al Quaeda.

      Le résultat était donc facile à prévoir: le chaos.
      La tribune de Mr Jospin reçut même des bouteilles.

      Que firent Mme Buffet et Mr Jospin?
      Rien.
      Que firent les joueurs divinisés par les Camarades?
      Rien.

      Aucune condamnation.

      Il est vrai que Zidane lui-même n'hésite pas à frapper violemment de la tête un adversaire; pourquoi se priverait-il? Cela lui valu le premier de "Footballer de l'année"; il expliqua ensuite qu'il recommencerait, et que s'il l'avait fait, c'est que "c'était écrit" (citation littérale).
      De même, Barthèz cracha impunément au visage d'un arbitre marocain.


      Dans tous les domaines, nous subissons quotidiennement les conséquences de la nullité et des (in)actions inconscientes et irresponsables des Gouvernements de Gauche qui se sont succédés depuis 1981.

      Le pire de ces résultats est le culte de la haine, l'impunité des pires criminels ("il faut comprendre": "punir, c'est fasciste!"), et donc le développement de la violence sous toutes ses formes, de la plus banale (mais symboliquement forte: siffler et huer l'hymne) à la plus terrible (attaquer, battre, violer, torturer, brûler vif).

      Ce midi sur Europe 1, des auditeurs téléphonaient pour expliquer: "il faut comprendre ces jeunes", parce que ce sont des victimes.

      Le discours est toujours le même: la Droite est méchante parce qu'elle veut punir les criminels; la Gauche "fraternelle" est gentille parce qu'elle "les comprend".

      Samy Naceri, grande vedette de Canal Plus, érigé par la chaîne en modèle, est, comme beaucoup de ces "modèles made in Canal Plus", un batteur de femmes.
      Arrêté, condamné plusieurs fois, à peine sorti de prison, il fonce en voiture sur un policier et le renverse-- une femme policier.

      Jamel Debouze, grand soutien de Ségolène Royal, expliqua de manière répétée que "c'est eux, les victimes", en parlant des ordures qui avaient brûlé une jeune fille dans un local à poubelles.


      Avec de tels discours et de tels modèles, de Cohn-Bendit à Besancenot, de Mao à Gevara, de Zidane à Debouze, il est inévitable que les banlieues (et les villes, de plus en plus) souffrent terriblement, et que la haine et la violence envahissent les stades de football, les halls d'immeubles, les rues.


      D'un côté du stade: les Nazis.
      De l'autre côté: les bandes des banlieues, abreuvés de haine par les media de la Gauche, encouragés par l'impunité et "la compréhension" de la Gauche, et infiltrée dans certains groupes par des extrêmistes religieux qui voient dans ces bagarres de stade l'occasion de mini-massacres d'infidèles.

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