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dimanche 2 novembre 2008

La gauche rejette la possibilité de travailler jusqu’à 70 ans

Les Français seront-ils privés de la liberté offerte de choisir leur âge de départ à la retraite ?
L'Assemblée a adopté un amendement au projet gouvernemental qui permettrait aux salariés de travailler jusqu'à 70 ans s'ils le souhaitent.
La gauche conservatrice est perturbée : les syndicats se disent inquiets et l'opposition crie au «scandale».

L’opposition en perd ses repères ...
L’idéologie n’excuse pas tout et la démagogie aggrave leur cas
L’idée même de travailler jusqu'à 70 ans lorsqu'on le souhaite est considérée comme impensable par nos quinquagénaires de l'opposition. Or,si leur espérance de vie a grandi, ils ont conservé en mémoire l’image de leurs pères à la maison pendant dix à quinze ans de retraite, que la réelle pénibilité des emplois permettait de qualifier de ‘bien méritée', et qui autorisait la passivité, tout au plus la partie de boules et le coin de potager. L'amendement qu'ont fait passer les députés dans la nuit de vendredi à samedi, en marge de l'examen du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2009 a donc pris de court les plus ringards ou ceux qui s’imaginent que leurs concitoyens le sont plus qu’eux encore.

Le projet de départ du texte interdisait aux employeurs de mettre leurs salariés à la retraite d'office passés 65 ans
La majorité parlementaire a voulu aller plus loin, estimant que cette suppression pure et simple de la procédure de "mise à la retraite" pourrait causer des "difficultés pour les entreprises". Les députés ont donc proposé un amendement qui laisse «la possibilité aux salariés qui le souhaitent de prolonger leur activité au-delà de 65 ans sous réserve d'en avoir préalablement manifesté l'intention auprès de leur employeur et dans la limite de cinq années».
Les Français auraient pu prendre leur destin en mains.
En pratique, l'employeur doit interroger, avant l'âge de 65 ans, son salarié sur son intention de partir ou non en retraite. Si le salarié refuse, ou s'il ne donne pas de réponse, l’employé ne pourra pas être mis en retraite d'office, et ce, jusqu'à l'âge de 70 ans. Cette mesure ne repousse donc, ni l'âge de la retraite, ni le nombre d'années de cotisations nécessaires à l'obtention d'une pension à taux plein, qui reste de 40 ans aujourd'hui, qui deviendront 41 d'ici à 2012.
Le député UMP Denis Jacquat, auteur de l'amendement, estime qu'il «n'est plus acceptable aujourd'hui qu'un homme ou une femme âgé de 65 ans soit mis à la retraite contre son gré, du seul fait de son âge, alors même qu'il n'a pas forcément toutes ses annuités d'assurance ou qu'il souhaiterait prolonger son activité pour améliorer sa pension». Ou qu’il se plaît et donne satisfaction dans son activité, la transmission du savoir, par exemple.


Une opposition suspicieuse

Cet amendement a suscité de vives critiques de la gauche politique et syndicale.
>Les partis politiques
«L'âge de la retraite est insidieusement repoussé à 70 ans», s'est indignée en séance la Martine Billard (à gauche), Verte à plus d’un titre.

Encore relativement jeune (1959), mais déjà au pli de l'idéologie, la socialiste Marisol Touraine (à droite) a, quant à elle, accusé le gouvernement d'utiliser «tous les moyens pour reculer l'âge des départs en retraite et amener les salariés à travailler le plus longtemps possible».

Le PCF
a fustigé dans un communiqué, un «scandale» et un «pseudo-volontariat», «comme si les retraités qui vivent aujourd'hui si nombreux sous le seuil de pauvreté pouvaient avoir le choix». Et s’ils souhaitent continuer quelques années, le PC les priverait de cette liberté.

>Le syndicat CGT
La CGT
a-t-elle consulté sa base, qu’elle estime que ce texte susciterait «une légitime inquiétude» même s'il «ne modifie pas pour le moment les repères de 60 et 65 ans en matière de retraites» ?
Ce syndicat glose. «Cette mesure traduit bien la réalité d'aujourd'hui : de moins en moins de salariés auront la totalité de leurs droits à 60 ans et une retraite suffisante à 65 ans. Ils devront donc chercher à poursuivre leur travail voire à cumuler emploi et retraite», estime le secrétaire confédéral Jean-Christophe Le Duigou. Applaudit-il donc qu’il soit donné la possibilité aux salariés d’obtenir la ‘totalité de leurs droits’ et une ‘retraite suffisante’ ?


Les députés ont adopté un autre amendement

Celui-ci repousse l'âge limite d'activité en vol des personnels navigants de l'aviation civile : il est actuellement de 55 ans pour les hôtesses et stewards, et de 60 ans pour les pilotes. Les personnels des deux catégories pourraient choisir de continuer, éventuellement au sol, mais les syndicats d'Air France ont décidé à leur place.
Pour protester contre cette mesure, ils lancent un appel à la grève, qui pourrait avoir lieu en décembre, mais qui pourrait ne pas être suivie comme ils le voudraient, par des personnels qui ne souhaiteront pas que les syndicats régissent leurs vies et leur confisquent la possibilité d’opter pour une prolongation volontaire d’activité.

«Je ne veux voir qu’une seule tête !»
Les personnels d’Air France, et d’ailleurs, prennent peu à peu conscience de ce que ni les partis ni les syndicats de gauche ne prennent en compte le désir éventuel des salariés, qu’ils soient syndiqués, ou qu’ils ne le soient pas, mais sont pareillement contraints: la gauche entend décider pour tous de ce qui est mieux pour eux, tous autant qu’ils sont, hommes et femmes, valides et invalides, grosses et petites retraites, indistinctement.

Les salariés supporteront-ils que
les partis et les syndicats leur confisquent
la liberté de décision?

1 commentaire:

  1. Quand donc les Français comprendront-ils enfin dans leur immense majorité que la Gauche n'agit nullement dans leur intérêt?

    Quand donc ce pays, comptant parmi les plus haut membres de l'O.N.U., du G8 et de la C.E., censé faire partie des pays les plus "civilisés", "évolués", "éclairés", démocratiques, se débarrasera-t-il des syndicats de Gauche qui l'oppressent, le ruinent, l'asphyxient, par des pratiques et au nom d'idéologies les plus extrêmes, dont l'Histoire nous a montré et nous montre encore la mal qu'elles font aux peuples des pays qu'elles ont conquis par des moyens des plus sanguinaires?


    Il est anormal qu'un syndicat contrôle intègralement la parution ou non de la presse (qu'elle n'hésite pas à museler alors qu'elle aussi est sous son contrôle).

    Il est anormal que des syndicats se livrent à des actes de sabotage sur les réseaux ferrés, mettant en danger les voyageurs, pour mettre dans un grand embarras les "Camarades prolétaires" qui ont payé (cher-- les doit-disant promotions ont été prouvées "bidon" par les associations de consommateur: on y a jamais droit) leur billet (pour travailler, pour s'offrir quelques vacances, pour assister à un spectacle ou un événement familial improtant, pour aller se soigner, ...)-- "Camarades' qu'ils appellent à les rejoindre dans la rue les autres jours.

    Il est anormal que l'information soit totalement sous le joug d'une seule idéologie (97% de journalistes et présentateurs sont fiers de se déclarer de Gauche et le font bien sentir), qui déforme les faits, en invente, noie la parole de l'opposition (actuellement au pouvoir!) sous un flot ininterrompu de mensonges et d'insultes-- et pratique ainsi un lavage (ou plutôt un "salissage") de cerveau de la population.

    Il est anormal que des syndicats totalement minoritaires-- et même dans certains cas, ne représentant absolument personne-- s'opposent à la liberté d'autrui et l'entravent par des coups de force et des actions en justice allant contre l'intérêt des personnes véritablement concernées: universités bloquées par de pseudo-étudiants (une centaine d'individus, comprenant "étudiants" ratés et "gros bras" extérieurs envoyés par les grands syndicats, contre plusieurs milliers d'étudiants), centres commerciaux intedits d'ouverture le Dimanche ou une heure de plus le soir (pour les employés volontaires parce qu'ils ont besoin de travailler), ...

    Il est anormal que des (ir)responsables politiques, dont la seule contribution lorsqu'ils étaient au pouvoir fut de ruiner le pays par des mesures absurdes, continuent de tout faire ruiner encore davantage le pays, en ne soutenant pas une loi destinée à réagir à une crise financière internationale unique, en organisant manifestations et grèves à répétitions, en continuant de faire croire au gens qu'il faut être augmenté en travaillant toujours moins, et en s'opposant à la liberté offerte à chacun de convertir en salaire des "heures de réduction du temps de travail" inutiles, en effectuant des heures supplémentaires, et en travaillant plus longtemps-- ce qui, dans bien des domaines (tels la médecine) où les connaissance et l'expérience sont capitales et difficiles et longues à acquérir, est un atout majeur, alors que de nombreux personnages politiques de Gauche ont continué d'assumer des fonctions à grande responsabilité au-delà de 60 ans, 65 ans et même 70 ans-- un exemple suffira: François Mitterrand, Président de la République de 65 ans à 79 ans, malgré un état de santé effroyable, qu'il a caché en mentant aux Français, en obligeant un médecin à mentir, et en usant de moyens peu démocratiques pour s'assurer le silence de la presse et de quiconque risquait de trahir ses sales petits secrets.

    Il est anormal que des (ir)responsables politiques pratiquent la calomnie et l'insulte, s'allient aux terroristes et aux assassins, défendent les gangs hyper violents des banlieux et les batteurs et brûleurs de femmes, et menace d'"un vent de violence"-- qui s'abat effectivement lors des manifestations, occasions de saccages, de pillages, de destructions de lieux et de mobiliers publics tout comme de boutiques et de biens privés.

    Il est anormal que la justice soit elle l'otage d'une idéologie de Gauche dangereuse pour la société, qui consiste à protéger à tout prix les pires criminels (en leur trouvant toutes sortes d'excuses, en les condamnant à rien, et même en les relâchant dès leur arrestation, grâce aux mesures de Mme Guigou) plutôt que les victimes, dont le nombre croît précisement parce que d'honnêtes citoyens-- des hommes, des femmes, des personnes âgées et des enfants-- sont victimes de dealers, de truands, de violeurs et de pédophiles remis en liberté par la "justice" de Gauche, avec la complicité de la "Ligue des Droits de l'Homme (Criminel Exclusivement)".


    Ce ne sont malheureusement que quelques exemples des très nombreuses anomalies dont souffre ce pays; toutes ont la même origine.

    Tout ne serait pas parfait, le Paradis sur Terre ne serait pas réalisé, mais les choses iraient infiniment mieux si les Français prenaient enfin conscience de la rouerie, des manipulations abjectes, de l'égoïsme, de la malhonnêteté, de cette Gauche et de ses syndicats qui leur mentent et les maltraitent, les manipulent et les exploitent, les trompent et les ruinent, uniquement pour servir leurs propres petits intérêts et accroître leurs seuls avantages, plutôt que d'agir véritablement dans l'intérêt de tous.

    La solution est simple: ne surtout pas soutenir les syndicats et les Partis qui nous nuisent tous les jours, à l'échelle individuelle (petits coups mesquins entre "collègues", contre les "méchants non-syndiqués") et à l'échelle nationale, mais lutter contre eux, en rétablissant la vérité (à chaque occasion, chacun dans sa spécialité et dans son entourage) et en dénonçant les pratiques abjectes, injustes, illégales dont les "Camarades" accablent les Français dans leur vie quotidienne.

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