POUR

LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

Free speech offers latitude but not necessarily license

jeudi 9 avril 2009

Temps de parole présidentiel: Hollande menace le CSA

L’ex-premier secrétaire du PS, un bravache grotesque

La liberté d'expression tout de suite
Mais pas pour tous


Les démocrates veulent museler
le seul élu du suffrage universel

François Hollande en pleine crise d’autorité !
Au temps de son premier secrétariat, Flamby 1er n’avait jamais rien su trancher. Le compromis permanent caractérise sa gestion molle: c’est le dernier qui avait parlé qui avait raison. Mais le voilà qui voudrait obtenir du CSA plus que ce qu’il a jamais pu obtenir de ses camarades.

Suite à l'arrêt du Conseil d'Etat annulant la décision du CSA qui avait refusé de compter le temps de parole présidentiel, l'autorité audiovisuelle a annoncé qu'elle fixerait après les élections européennes de juin les nouvelles "règles applicables".

Le caca nerveux de François
Hollande a menacé mercredi le CSA de saisir à nouveau le Conseil d'Etat si le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel ne prenait pas "dès le mois prochain" une décision conforme à l'arrêt de la haute autorité administrative sur le temps de parole présidentiel dans l'audiovisuel.
"Maintenant que les principes sont fixés, nous demandons qu'aucun temps supplémentaire ne soit perdu", a affirmé l'hyperactif ancien premier secrétaire du PS, lors d'une conférence de presse à l'Assemblée Nationale, encadré de la Voix de Son Maître, le président du groupe PS, Jean-Marc Ayrault, et de deux députés socialistes spécialistes de l'audiovisuel, Didier Mathus et Michel Françaix.

François, citoyen vigilant
F. Hollande, qui avait saisi le Conseil d'Etat en décembre 2007 en tant que patron du PS, continue à exiger, maintenant qu’il est rentré dans le rang, histoire d’imiter une autre ex, la mère de ses enfants, qui s’est investie de l’autorité que lui confère son échec à la présidentielle !
"Nous serons très vigilants","si le CSA déniait une nouvelle fois d'imputer le temps de parole du président de la République sur le temps de l'exécutif."


Hollande refuse la présomption d’innocence au CSA
S’il utilisait des subterfuges pour gagner du temps - comme cela a l'air d'être le cas- nous saisirons [saisirions ?] une nouvelle fois le Conseil d'Etat", a grondé l’ex-numéro 1 du PS, soulignant: "le CSA est sous le contrôle du juge et je crois qu'il a besoin d'être contrôlé".

Le juge Hollande condamne avant d’entendre l’accusé
Il a demandé rendez-vous à son président, Michel Boyon, "pour examiner les conséquences de cet arrêt", mais sans attendre, il conclut que "nous sommes dans une démocratie paradoxale où il faut qu'il soit une juridiction administrative qui donne droit à l'opposition pour qu'elle fasse entendre sa voix", a-t-il tonné.
Plus contestataire, tu meurs !
"Le peu qui reste de crédibilité au CSA se joue maintenant", a accusé le député de Corrèze, qui, dans une lettre
Selon le matamore de Corrèze, "la portée de cette décision est considérable", "c'est une victoire importante du droit, du pluralisme et de la démocratie".
Et de la liberté d'expression.
Désirdavenir Royal pourra-t-elle en revanche continuer à déblatérer tout son saoul ?

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