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mercredi 9 novembre 2011

Sarkozy veille à ce qu'Hollande assume ses déclarations

Le Président Sarkozy défend notre politique éducative

Nicolas Sarkozy a ironisé sur une proposition du candidat de la gauche

Le candidat François Hollande envisage en effet une embauche massive de professeurs, malgré la dette publique.
En déplacement à Soissons, dans l'Aisne, le député de Corrèze persiste et signe: "Je fais la proposition de faire une loi de programmation qui permettra de récréer des postes sur les cinq ans. On créera les 60.000 à 70.000" postes supprimés depuis 2007, a affirmé François Hollande lors d'une conférence de presse. 12.000 postes par an.
Les prévisions budgétaires d'un économiste nul en économie
Il était une fois 60.000 enseignants que je vais créer d’un coup de ma baguette magique « Yaka ». Comme je dois être sérieux pour ne pas être confondu avec ma femme (Non, pas comme DSK confondue par une femme…), j’ai un trésor de 500.000.000 d’euros par an, pour financer la création de 12.000 postes par an. Au total, j’aurai 60.000 enseignants pour 2,5 milliards d’euros. Abracadabra!
François Hollande a simplement oublié l'effet cumulatif de ces 60.000 carrières pendant 42 ans ! Extravagant !

Nicolas Sarkozy a donc une nouvelle fois tenté de ramener son futur rival socialiste à la raison.
François Hollande promet en effet d'embaucher 60 000 personnes dans l'Éducation. " On va embaucher 60 000 enseignants, c'est 500 millions d'euros par an multiplié par cinq. Mais depuis quand embauche-t-on un fonctionnaire pour cinq ans ?" a-t-il raillé, " c'est peut-être une innovation, un nouveau contrat (...) c'est niveau master pour découvrir ça. "

Lors du petit déjeuner de la majorité à l'Élysée avant sa visite en Alsace,
Nicolas Sarkozy aurait en outre jugée "démagogique" la décision de François Hollande de réduire de 30 % le salaire du chef de l'État et de ses ministres s'il était élu. Or, le plan Fillon venait tout juste d'annoncer le gel de la rémunération de membres du gouvernement: le socialiste en campagne a donc entrepris une escalade à laquelle les finances de l'Etat auront à faire face.

Nicolas Sarkozy ne laisse plus dénigrer son action

Le président était en déplacement sur le thème de l’université à Strasbourg, où il a rencontré des étudiants.
VOIR et ENTENDRE
ce reportage mi-figue, mi-raisin de BFMTV:

Sarkozy ironise sur Hollande à Strasbourg par BFMTV

Des efforts sont attendus des socialistes comme de tous

Aux critiques de la gauche qui a jugé que la deuxième vague de rigueur budgétaire dévoilée lundi ferait peser un risque sur la croissance, le chef de l'État a répondu que le programme "d'investissements d'avenir" permet de "développer des gisements de croissance de l'avenir".

Il a également dénoncé ceux qui considèrent les agences de notation ou les marchés comme "les sorcières du Moyen Âge". " L'accumulation de la dette, des déficits, c'est ce qui fait perdre son indépendance à un pays ", a-t-il observé.

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