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mardi 6 mars 2012

Avec F. Hollande, la gauche ordurière, dont les Français ne veulent pas, réclame le pouvoir

En ne condamnant pas, Hollande et Aubry encouragent la "République de l'irrespect"


Ils paient pour se faire traiter de" public de merde, petits bourgeois "

C'est en ces termes qu'Éric Cantona a écrit dans le livre ...d'or du théâtre Olympia d'Arcachon après sa prestation écourtée de " Ubu enchaîné ", le 21 février:
il avait dû quitter la scène et avait refusé de saluer le public.

Le texte d'Alfred Jarry est au-dessus du niveau de ses adducteurs

Le propos d'Ubu déchaîné, fondé sur l'absurde, est réservé à un public averti, mais aussi à des interprètes intelligents et inspirés. Les margoulins s'y cassent les dents, mais les spectateurs s'exposent aux crampons des footballeurs frustres qui, en l'occurence, s'improvisent comédiens intellos.

Le copinage ne confère pas le talent
Eric-le-Rouge s'est certes payé le metteur en scène anglais, Dan Jemmett (Brecht, Kafka, ou Borgès, Argentin ambigü...), que lui a rabattu le camarade trotskiste, Ken Loach (ci-contre à gauche), mais le piston s'est grippé en pleine course: l'ancien footballeur violent exilé en Angleterre a tenté de s'incarner en acteur, mais le public n'y a pas cru et l'usurpateur n'a pas même attiré les curieux. Le mardi 21 février 2012, l'Olympia était à moitié vide. De Paris, Télérama et Libération l'auront vu à moitié plein.

Finalement, les absents auront été bien inspirés
Ils se sont épargnés une incompréhensible mise en scène, vaisselle en porcelaine, œufs (frais), pot de confiture (plein), que le conteur (Giovanni Calo), souvent muet, ne cesse de jeter au sol et d'écraser sur scène. Ils n'auront pas eu, non plus, à supporter - du moins au début - la diction bredouillante d'Eric Cantona dans un père Ubu vociférant, gesticulant sur son fauteuil de roi déchu, de despote devenu esclave, dont les " Cornegidouille ", fleurant le fois gras et le Jurançon, peinent à arracher un sourire las. Ils auront surtout été épargnés par la fin aussi absurde que provocatrice. Au bout d'une heure (à peine), et sur un dernier " Merdre " retentissant, Ubu-Cantona quitte donc la scène. Et puis plus rien.
Quand la salle se rallume, quelques applaudissements polis se font entendre. On se demande si c'est un entracte. Personne ne peut imaginer que la pièce est terminée. La preuve : les trois acteurs ne reviennent pas saluer ! Mais ils ne reviendront pas. Du jamais vu et les spectateurs qui s'attardent, restent interloqués dans le hall de l'Olympia, parlent même d'un manque de respect. Les nostalgiques de l'époque du Manchester United évoquent le " fait du roi ". Les afficionados du théâtre se souviennent alors consternés qu'Eric Cantona a parrainé le 'Tribunal Russell sur la Palestine', et qu'ils contribuent à renflouer l'activiste indélicat.
Celui-ci se pique en effet désormais de politique internationale. N'a-t-il pas voulu, en pleine crise financière l'an dernier, vider les banques. Il n'aura réussi qu'à vider les théâtres.


Du mouvement des idées aux Mouvements du bassin

Un titre de film approprié à un acteur-réalisateur de films X.

Et pourtant, ces mouvements de bassin là n’ont rien de lubrique. Il s’agit en réalité du titre du prochain film de Henri-Pierre Gustave, autrement connu comme HPG l’ex-hardeur à succès. Reconverti avec l'âge dans le cinéma ‘soft’, HPG a fait appel à Eric Cantona et sa compagne née à Paris de parents Algériens, Rachida Brakni, dans son prochain film, 'Les Mouvements du bassin', une tragi-comédie... Eric Cantona y est un célibataire accro aux sports de combat quand Rachida Brakni incarne Marion, jeune femme qui souhaite avoir un enfant. Un rôle de composition, donc !
"La femme d'Eric Cantona fait la pub du Crédit Lyonnais (lien) : lien PaSiDupes (autre lien)


Eric Cantona a été condamné par le tribunal de grande instance (TGI) de Paris


Cantona le producteur n'aime pas les banques ?...

La société de production Canto bros de l'ex-footballeur et comédien doit verser 11.000 euros au réalisateur d'un film inachevé dont elle avait acquis les droits, après la liquidation judiciaire de son producteur.
Si le jugement restitue à Philippe Barassat ses droits d'auteur sur son premier long métrage, il rejette ses autres demandes. En conséquence le réalisateur qui avait assigné le producteur Eric Cantona et sa société, Canto bros, en justice , "s'apprête à faire appel", a affirmé son avocat, Me Sébastien Haas.
Tournée en 2006, la comédie musicale "Lisa et le pilote d'avion", avec à l'affiche, son producteur (!), Eric Cantona, et la comédienne ...Rachida Brakni, devenue l'épouse du producteur, n'a pu être achevée "faute de moyens financiers suffisants", rappelle le jugement. Placé en liquidation judiciaire le 1er mars 2007, le producteur Abracadabra avait cédé pour 10.000 euros ses droits sur ce long métrage à la société Canto bros, qui tenta de spéculer. Elle rechercha en vain "des financements auprès de plusieurs sociétés distributrices" pour achever la post-production du film. Or, si "Lisa et le pilote d'avion" ne voyait pas le jour la société d'Eric Cantona devait rembourser les 400.000 euros d'avance sur recettes versés par le Centre national de la cinématographie et de l'image animée (CNC, ex-Centre national de la cinématographie), souligne Me Sébastien Haas. Le CNC est placé, notons-le, sous l'autorité du ministère chargé de la Culture, financé par les 50% de "petits bourgeois de merde" qui paient l'impôt.
Lien PaSiDupes : "Cantona-Brakni, de sulfureuses vedettes de la gauche vertueuse "

Que le mégalo se consacre plutôt à la culture de la truffe...

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