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jeudi 12 juillet 2012

Thomas Hollande relance l'affaire du tweet de Valérie Trierweiler

Thomas est-il sous la coupe de sa maman ?


Dans la dynastie Ségollande,
rien à faire de Thomas

Ses propos n'intéressent personne

Un fils de... et qui n'est élu de nulle part

L'affaire du tweet de Valérie Trierweiler, concubine du chef de l'Etat, contre Marie-Ségolène Royal, sa première, durant les législatives à La Rochelle a été relancée mercredi par des propos du fils aîné du président, Thomas Hollande, rapportés par Le Point, mais qu'il a qualifiés de "déformés".

Chez les Ségollande, rien n'est simple.
Dans son édition datée du 12 juillet, l'hebdomadaire relate une conversation avec Thomas Hollande, dans laquelle il évoque le tweet de la journaliste encourageant dans l'entre-deux-tours Olivier Falorni, le candidat choisi par la base du PS qui était opposé à lune pistonnée,  parachutée de surcroît, la mère des quatre enfants du président, Désirdavenir Royal.
Le fils de... réactive le psychodrame familial
Thomas ne craint pas de livrer sa vie privée. "Ce que je reproche au tweet, c'est d'avoir fait basculer la vie privée dans la vie publique", dit le jeune avocat de 27 ans."Ca m'a fait de la peine pour mon père: il déteste tellement que l'on parle de sa vie privée. Ca a détruit l'image normale qu'il avait construite", ajoute-t-il, maladroitement, accréditant l'idée d'une image fabriquée, alors que durant la campagne présidentielle François Hollande a promis d'être "un président normal".
Selon l'hebdomadaire, Thomas Hollande décrit un François Hollande "ahuri" par le tweet de sa compagne.
Le fils à sa maman parle comme Sa Cynique Majesté Royal
"Je démens avoir accordé une interview au Point. Les propos rapportés, dont certains sont déformés ou sortis de leur contexte, ont été tenus lors d'une conversation informelle" avec une journaliste de l'hebdomadaire, a plaidé en début de soirée Thomas Hollande, qui joue sur les mots.
La journaliste du Point, Charlotte Chaffanjon, a rapidement répliqué sur son compte twitter. "Aucun propos n'a été déformé", a-t-elle écrit noir sur blanc, soulignant qu'il s'agissait d'un "article" et à aucun moment d'une "interview".
Dans cet article, le fils du président déclare notamment à propos de Mme Trierweiler: "Je savais que quelque chose pouvait venir d'elle un jour, mais pas un si gros coup. C'est hallucinant".
Il aurait dit à la journaliste que, comme son frère et ses soeurs, il ne veut plus voir la compagne de son père. "C'est logique non?, et puis ce qui compte, c'est qu'on normalise les relations avec notre père", explique-t-il, selon le magazine.
C'est leur vie privée et cela ne nous regarde plus, dès l'instant que les électeurs ont envoyé la vieille rosse à la réforme.
Il a dîné en tête-à-tête avec son père qui lui a demandé de "ne pas alimenter le feuilleton". En retour, assure l'hebdomadaire, François Hollande a promis qu'il s'exprimerait sur le tweet et clarifierait le rôle de la première dame.
A ce propos, dans l'entourage du président, on estimait mardi probable que le chef de l'Etat réponde à des questions sur ce sujet lors de son entretien télévisée du 14 juillet.
Thomas Hollande prend parti
La situation actuelle "est un facteur d'instabilité... soit elle est journaliste, soit elle a un cabinet à l'Elysée", décide-t-il. "Et surtout, ajoute-t-il, pas de deuxième tweet !" met-il en garde.
Interrogé sur l'avenir politique de sa maman, il répond: "Ministre, pourquoi pas, dans quelques mois: en politique, on n'est jamais mort".
Le garçon est visiblement téléguidé
Mais des propos du porte-parole de l'amère Royal, nous ne retenons rien d'utile, sinon que la battue et rebattue se rabattrait volontiers sur un portefeuille ministériel: grandeur et décadence !
Questionnée sur ces propos, la porte-parole du gouvernement Najat Vallaud-Belkacem a jugé sur BFMTV que cette affaire est "derrière nous". "Objectivement, aujourd'hui il n'y a pas plus de commentaire à apporter", a-t-elle ajouté. Même si c'en est pourtant déjà  un !
Même pas quelques dommages et intérêts
Si seulement la journaliste avait fait de son tweet une brève de Paris Match, ça aurait pu rapporter gros à la procédurière Royal...

1 commentaire:

  1. Comment ce garçon peut -il etre avocat? Il donne l'impression de ne pas avoir 2 neurones en état de marche!

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