POUR

LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

Free speech offers latitude but not necessarily license

dimanche 8 septembre 2013

France: le parc immobilier du Qatar atteint 6 milliards d'euros

Les Français sont spoliés de leur  patrimoine immobilier

Le Qatar s'est constitué un parc immobilier de plus de 6 milliards d'euros  en France 
dans le résidentiel très haut de gamme et les sites commerciaux ou touristiques de prestige à la faveur d'un régime fiscal dérogatoire, montrent des documents administratifs et juridiques.

Une quarantaine d'actifs immobiliers acquis par l'émirat du Qatar en France soit en direct, soit au travers de son fonds souverain, soit encore par le biais d'investissements réalisés en propre par des membres de la famille régnante al Thani ont ainsi été identifiés.
L'émirat et son fonds souverain contrôlent une dizaine de ses biens immobiliers pour une valeur totale de près de 3 milliards d'euros.
Lien PaSiDupes consacré au rachat du Printemps-La Redoute - Bientôt un Printemps arabe français Hollande permet qu'un paradis fiscal finalise la vente au Qatar

Un fonds créé par l'ex-émir, cheikh Hamad ben Khalifa al Thani, qui a abdiqué en juin en faveur de son fils cheikh Tamin, en détient neuf et ses enfants, dont le nouvel émir, six.
Les autres sont contrôlés soit par d'autres membres de la famille soit par des hommes d'affaires qui entretiennent des liens étroits avec la famille régnante comme Ghanim bin Saad al-Saad.
L'ancien émir du Qatar s'est ainsi porté acquéreur du célèbre showroom Citroën des Champs-Elysées mis en vente par PSA, qui confronté à d'importantes difficultés financières et aux attaques frontales de Montebourg, a cédé pour deux milliards d'actifs en 2012.

Les Qatari bénéficient en France d'un régime fiscal dérogatoire
controversé en vertu d'un accord bilatéral dont la dernière mouture remonte à l'origine de la crise économique et qui exempte d'imposition sous certaines conditions les plus values immobilières.
Il s'agissait notamment pour Paris de proposer des conditions au moins aussi attractives que Londres à un moment où la crise financière avait exacerbé la concurrence pour attirer les investissements des pays exportateurs de pétrole et de gaz, enrichis par l'envolée des cours, soulignent plusieurs experts.
Malgré son ressenti de frémissements divers, Hollande continue

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):