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jeudi 14 novembre 2013

1 prof sur 4 fera grève encore jeudi

Et ils ont le ministère nanti du budget le plus coûteux 

Nouveau durcissement de la fronde contre la réforme des rythmes scolaires aujourd'hui
 
Les syndicats d'enseignants appellent à la grève malgré des créations de postes qui creusent pour longtemps le déficit public. Selon les prévisions du ministère de l'Education, 1 enseignant sur 4 devrait néanmoins se mobiliser au niveau national, 1 sur 2 à Paris. 
Dans la capitale, une manifestation est prévue à 12h30.

Plus d'1 Français sur 2 pour l'abandon de la réforme

Selon un sondage CSA effectué pour BFM-TV,
54% des Français estiment que le gouvernement devrait abandonner la réforme, contre seulement 22% pour son maintien. L'étude a été effectuée ces deux derniers jours auprès de 911 personnes.

Le ministère estime son succès à 93,5%, sur 1/4 des communes impliquées
Vincent Peillon affirme en effet que la réforme appliquée depuis septembre se déroule "sans difficulté" dans 93,5% des 3.223 communes sondées. Le ministre-philosophe ne dit simplement pas que la France compte 36.600 communes...

"Il y a encore des problèmes, admet-il toutefois incidemment, mais par rapport à ce que l'on entend, c'est le premier bilan réel qui est donné par rapport à tout le traitement de fait divers, un cas après l'autre que l'on a eu", a estimé confusément le ministre de l'Education nationale sur Canal+.

Tout va très bien, mais semaine noire pour les enfants  

La fronde contre la réforme des rythmes scolaires, mise en place depuis septembre dans moins d'une commune sur dix, se durcit. 
Alors qu'elle doit s'étendre à toutes les écoles de France à la rentrée 2014, 55 maires, regroupés dans un collectif, ont d'ores et déjà déclaré qu'ils ne l'appliqueront pas "en l'état". Jean-Michel Fourgous, le maire UMP d'Elancourt (Yvelines), qui avait lancé en octobre une pétition contre le décret Peillon, a été rejoint par d'autres villes, notamment en Ile-de-France, dont Courbevoie (UMP), Levallois-Perret (UMP), Massy (UDI), Saint-Maur-des-Fossés (UMP), mais aussi Cannes (UMP) et Mâcon (UMP) pour les plus importantes.
Ils dénoncent, entre autres, le coût de la réforme pour les communes. Les autres, essentiellement de gauche, qui n'avaient pas les moyens d'assurer le service minimum d'accueil (SMA) et pénalisaient donc les parents qui travaillent, ont soudainement trouvé l'encadrement et les financements qui leur manqua jusqu'en mai 2012.

L'attitude de la ville de Paris dénoncée

Une centaine de groupes départementaux est mobilisée, notamment à Périgueux, Dijon, Toulon, Wittemheim, Maubeuge, Lissieu ou encore Riorges, a-t-elle indiqué.
Selon des témoignages de parents recueillis à un rassemblement devant l'Inspection académique de Noyon (Oise), "beaucoup d'écoles ont moins de la moitié des effectifs en cours" et "les parents qui n'ont pas d'autres choix que de mettre leur enfant à l'école enverront un mot d'absence à M. Peillon", a ajouté Elodie Berillac.

A Paris, au groupe scolaire Passy-Chernoviz, il y a eu "77% d'élèves absents en maternelle et 55% en élémentaire", selon Isabelle Nizard, du collectif de parents d'élèves. 
Paris "a fait le forcing pour la faire dès la rentrée 2013. On voulait attendre un an de plus pour construire quelque chose de plus efficace pour les enfants", a-t-elle dénoncé.

Les "gilets jaunes" se mobilisent

Les parents d'élèves ne restent pas les bras ballants. 
Des groupes ont lancé sur Facebook une page pour le "boycott national contre la réforme des rythmes scolaires". Pour être visible sur le chemin de l'école et lors des manifestations, certains portent les gilets jaunes de la sécurité routière. A Maubeuge, dans le Nord, deux cents parents n'ont pas envoyé leurs enfants en classe mercredi 13 pour dénoncer la semaine de 4,5 jours.
VOIR et ENTENDRE des réactions de parents inquiets, mercredi:
 

La réforme des rythmes scolaires a perdu de sa lisibilité pour beaucoup. A quoi devait-elle servir déjà ? Retour sur les grands principes de cette réforme...

Des collectifs de parents d'élèves appellent les familles à ne pas mettre leurs enfants à l'école. 
Une centaine de groupes départementaux sont mobilisés, notamment à Périgueux, Dijon (PS), Toulon, Wittemheim, Maubeuge, Lissieu ou encore Riorges, a indiqué Elodie Berillac, coordinatrice nationale de ce mouvement.

Dans le même temps, SUD éducation appelle à faire grève contre le rattrapage d'une journée de prérentrée. Quant aux enseignants, ils sont appelés à des actions diverses dans plusieurs départements par le SNUipp-FSU, premier syndicat du primaire qui demande un assouplissement du décret. Enseignants mais aussi animateurs et auxiliaires de maternelle seront également mobilisés jeudi, dans toute la France.

L'élève n'est pas un rythme,
 mais un enfant

3 commentaires:

  1. Berthelage-Hnovembre 14, 2013

    Bonjour. Sa réforme est minable, cet homme est vaniteux. Est-ce qu'il pense qu'il est un sauveur des enfants? Il se trompe. Que cet adultère s'occupe de ses propres enfants, au lieu d'emmerder les enfants des autres, qu'il se mêle de ses affaires, on ne lui a rien demandé, il n'y a pas si longtemps en France, les enfants allaient à l'école primaire lundi, mardi,jeudi,vendredi et samedi matin, V. Peillon n'a pas beaucoup d'imagination, faire aller les enfants à l'école le mercredi matin, ce n'est pas intelligent, et il est payé pour ça, il déteste les familles chrétiennes et il veut leurs faire du mal, pourquoi? Que Dieu punisse V. Peillon le maudit. Salut cordial. Béatrice B-H

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  2. L'élève n'est pas un rythme,
    mais un enfant
    Exactement.......mais pour les socialistes moralisateurs et donneurs de leçons sur tous les sujets, j'ajouterai

    L'enfant n'est ni un dû ni une marchandise

    Qu'ils arrêtent tous de prendre les enfants pour des centres de test..............

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  3. Berthelage-Hnovembre 14, 2013

    Bonjour. Je trouve que Vincent Peillon a une sale tête de fou dangereux, il est vraiment affreux. J'espère qu'il ira souffrir dans l'au-delà, dans la loge de l'enfer, avec son grand maître Lucifer. Pendant ce temps, nous les chrétiens joyeux, nous rigolerons bien avec Dieu. Salut cordial. Béatrice Berthelage-Hervé

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