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dimanche 12 avril 2015

DIM licencie après les départementales

Dim pourrait supprimer 400 emplois en France

Le propriétaire de la célèbre marque de collants s'apprête à licencier en France

Le groupe textile américain HanesBrands (HBI), propriétaire des marques Dim, Playtex et Wonderbra, "envisage de supprimer 400 emplois dans toutes ses implantations en France dont 160 au minimum à Autun (Saône-et-Loire) où Dim emploie actuellement 1010 personnes", selon Le Parisien. 

"Les 400 suppressions d'emplois devraient être officialisées dans les prochains jours": les suppressions d'emplois envisagées seraient "d'abord des départs volontaires ou des départs en préretraite, dans le cadre d'un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) qui reste à définir".

A Autun, où a été fondé DIM en 1956, "les suppressions d'emplois ne concerneraient ni la fabrication des collants et des bas, ni le C3D, qui assure la logistique pour l'Europe. En revanche, les 160 suppressions de postes frapperaient tous les autres corps de métier", précise le journal.

Il y a seulement un an, en septembre 2014, le fonds d'investissement américain Sun Capital Partners avait vendu le groupe de sous-vêtements DBApparel qui compte les marques Dim, Playtex, Wonderbra et Chesterfield, au groupe de textile américain HanesBrands (HBI) pour 400 millions d'euros.
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Arnaud Montebourg, le ministre du redressement productif, éclata de rire à une question sur les sous-vêtements français Eminence lors d'un face à face avec les lecteurs du Parisien. 

DIM a changé quatre fois de propriétaire en quatre ans

Au cours des quinze dernières années, trois usines ont fermé. 
En 2002, à Ruitz (Pas-de-Calais) et à Bourbon-Lancy (Saône-et-Loire, département de Montebourg) et, en 2006, à Château-Chinon (Nièvre, département de feu F. Mitterrand) avecà chaque fois, des suppressions d'emplois. Ironie du sort, les salariés frappés par les fermetures de Bourbon-Lancy et de Château-Chinon avaient été mutés à Autun. 
C'est aussi ce qui avait été proposé aux salariés de l'usine du Creusot (Saône-et-Loire), fermée au milieu des années 1980... 

Pendant les licenciements, Montebourg jouit d'une année sabbatique (ou deux)


Les publicitaires de DIM avaient pourtant mis le paquet...



 

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