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samedi 28 octobre 2006

Dray : les violences des banlieues l’angoissent…
Sa conscience serait-elle sincèrement ébranlée et son sommeil perturbé ? Se sentirait-il une part de responsabilité ?
Le responsable de la jeunesse au PS et agitateur des banlieues confie au "Journal du dimanche" son "angoisse (...) que les armes qui existent en banlieue soient utilisées contre les policiers". Il est bien informé et ses informations ne doivent pas être prises à la légère. Mais pour l’heure, des djeunes ont de l’essence à disposition, ce qui n’est pas le cas de monsieur tout le monde.
Le député (PS) de l'Essonne Julien Dray craint donc logiquement"qu'un nouveau palier de violence soit franchi" dans les quartiers difficiles, où il juge la situation "extrêmement préoccupante". Un an après les émeutes, "la situation a encore dégénéré", analyse le porte-parole du Parti socialiste dont nous ignorons tout de ses outils d'évaluation: il a ses certitudes, ça doit nous suffire. "De très jeunes gens se livrent à une sorte de jeu vidéo nature, en se prenant pour des combattants anti-Sarko". D’où leur vient l’idée ? Le chercheur-enseignant socialiste (personne ne sait d’ailleurs ce qu’il cherche et où… Si vous savez, merci de nous laisser un ‘commentaire’ !) rend les jeux video responsables : c’est ça, la perspicacité ? Mais qui justifie ces malheureux désoeuvrés que l’on ne voit ni sur les stades, ni dans les bibliothèques, dans leurs idées folles et immatures, instillant la haine dans leurs pauvres cerveaux, en les convaincant qu’ils ne peuvent rien faire pour s’en sortir puisque tout le monde leur en veut sans raison et en leur promettant qu’il suffit d’attendre la révolution. Bien sûr, il peuvent activer les choses et faire leur révolution eux-mêmes sans attendre : c’est sans conséquences, puisque la loi les protège et il est même des juges, au pire, pour assurer leur protection…
Selon Julien Dray, "le tout-carcéral est la pire des solutions, car le problème n'est pas de durcir les lois mais d'éviter que les plus jeunes s'installent dans une situation de délinquance permanente". Comment fait-il ? Encore une fois l’entourage de Marie-sEGOlène sait tout de ce qu’il ne faut pas faire, mais ne propose rien en guise de solution.
Il estime, non sans originalité et pertinence socialistes, qu'une commission d'enquêtede plus– sur la situation dans les banlieues permettrait d'"obtenir un diagnostic sérieux et incontestable" et de "comprendre l'importance d'une mobilisation continue, durable et permanente". Que d’épithètes ! Comme c’est beau ! Ah, s’ils étaient au pouvoir, nous ferions la différence ! N’oublions pas cependant qu’ils étaient aux affaires il n’y pas si longtemps et qu’on a vu. Ou plutôt, qu’on n’a rien vu…
Si le juju Dray est angoissé, on est en pleine littérature…Il est donc enseignant en psychologie, ou en psychiatrie ou peut-être même en théâtre ou… cinéma et ne cherche plus.

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