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mercredi 28 mars 2007

Royal se félicite des 'incivilités'

Délits : récupération politicienne
et donc encouragements socialistes
Royal et Bayrou ont récupéré les émeutes de la gare du Nord à leur(s) seul(s) profit(s), sans prendre en compte l'avenir de la France.
Chacun a pu observer que la gauche a disjoncté aux élections de 2002 et que le PS a implosé, ce qui l'a amené, hagard, à désigner qui vous savez. Battue, blessée, humiliée, l’esprit de revanche, ou plutôt de vengeance, et la haine ont depuis animé l'action et les exactions de la gauche. Elle a donc consacré ces cinq années à créer le chaos en sous main. Des associations ont connu un regain d’activité, des collectifs sont sortis de nulle part et des réseaux, tel ESF, se sont constitués pour semer le trouble en exploitant la sensibilité des braves gens. Une nouvelle espèce de petits élus locaux méprisés, tel Frère Rebsamen, se sont fait une renommée nationale méprisable en déversant leur fiel, rivalisant ainsi avec des modèles à bout de souffle qui ont retrouvé une seconde vigueur, tel Juju Dray dans les médias ou tel le sombre Jean-Louis Bianco dans l’ombre grise de Sa Cynique Majesté Royal. Ainsi aussi , déconsidéré par son échec aux primaires socialistes avant même d’avoir commencé, D’Jack Lang s’efforce-t-il de renaître de ses cendres, tout en sacrifiant son image d’aimable fantaisiste mou. Il donne dans la surenchère et se répand en invectives baveuses, le Phoenix rose. La haine suinte de partout rue de Solférino, et encore plus dans l’entourage de la candidate rose vouée de tous temps à l'enfer de l’humiliation, d’abord familiale, puis politique.
Mais l’insalubrité socialiste s’étend hélas partout où les gauches ont rencontré des êtres en situation de faiblesse. Car la nature est faible et les opposants au pouvoir actuel exacerbent les aigreurs, les ratages et les bas instincts : le PS remue le couteau dans les plaies, car toute plaie reçoit d’eux plus que son compte de vinaigre. Les gauches savent envenimer, elles ne savent pas soigner, encore moins guérir. Y trouveraient-elles d’ailleurs leur avantage ? Elles préservent leur clientèle, quand elles ne la créent pas.

Les gauches promettent ce qu’elles n’ont pas les moyens de tenir et, qu’elles acceptent de prendre un jour la responsabilité du pouvoir, ou non, elles prennent ce risque insensé que les graines de discorde qu’elles sèment partout en France se développent en champs de batailles sociales pour le jour où elles arriveraient aux responsabilités. Le pays pourrait-il alors se payer le luxe de conflits sociaux nés de tant d’espoirs déçus en une France que la gauche lui promet meilleure. Les violences sociales qu’ils sont en train de susciter sont un bienfait à court terme dans la campagne de la socialiste, mais serait-elle en capacité de les endiguer une fois au pouvoir ?

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