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vendredi 18 avril 2008

L’UNSA, un syndicat au secours de la patronne socialiste anti-sociale condamnée

Des syndicalistes accusent des députés d'entorses multiples au droit du travail
Cette accusation ne peut qu'aggraver le cas de Sa Cynique Majesté Royal qui peine à sortir du lot, mais confirme encore qu'elle ne fait pas mieux que la moyenne de ses semblables, voire pire !
Or, l’UNSA, qui ne brille déjà pas par sa vertu, se place ici au côté de Royal et donc du côté des patrons-voyous, à condition qu’ils soient à gauche !
La fonction de certains syndicats ouvriers consiste-t-elle à développer des rumeurs ou des polémiques ? C’est la tentative actuelle d’un syndicat comme l’UNSA, dont on comprend qu’il ne soit pas officiellement reconnu et donc représentatif, mais qui pourrait le devenir, si d’aventure Sa Cynique Majesté Royal accédait au pouvoir. Ce syndicat cherche à se gagner ses faveurs en banalisant sa pratique d’exploitation des travailleurs qu’elle emploie en rechignant à les payer. Tout travail mérite salaire, sauf pour la socialiste battue à la présidentielle et l’UNSA qui joue un jeu douteux en banalisant le comportement anti-social d’une patronne socialiste.
Comme si la faute de Désirdavenir Royal pouvait s’en trouver lavée pour autant, des assistants parlementaires font une généralité des mœurs de Sa Cynique susnommée. Selon la rumeur de ce syndicat douteux, des députés en effet ne respecteraient pas toujours le droit du travail" avec leurs collaborateurs. "A l'Assemblée nationale, les 2.100 collaborateurs parlementaires subissent plus qu'ailleurs les résultats des comportements-voyous", a déploré dans un communiqué leur Union syndicale (USCP-UNSA).
Le syndicat rappelle que l'ex candidate socialiste à la présidentielle Marie-sEGOlène Royal (PS) a été condamnée jeudi 10 avril à verser des salaires à deux ex-attachées parlementaires. Il assimile à cette condamnation l'audition de Manuel Aeschlimann (UMP) "par la brigade de la répression financière". Au risque de se commettre une infraction à la législation en refusant la présomption d’innocence à leur adversaire : la justice syndicale française est plus expéditive encore que la justice chinoise, que la Présidente de Poitou-Charentes et de l’UNSA partagent dans un même amour.
Fin mars, M. Aeschlimann avait été entendu par la Brigade de répression de la délinquance économique dans trois affaires, dont une seule sur "l'utilisation inappropriée de fonds parlementaires à des fins privées". Si de l’audition à la condamnation médiatique il n’y avait qu’un pas, la rumeur aurait fait son œuvre.

A point nommé, l'USCP-UNSA a dressé l'inventaire des « mauvaises pratiques sociales qui s'appliquent dans cette maison! »: "contrats précaires", "rémunérations insuffisantes", "discrimination salariale homme-femme", "menace contre les femmes enceintes", "harcèlement moral et sexuel conduisant à des tentatives de suicide", "heures supplémentaires non rémunérées", "licenciement-minute ou sans motif", "crédit collaborateur détourné de sa finalité", "droit syndical méprisé". Par pudeur, le syndicat a probablement omis de mentionner la « gégène »…
"Par leur inaction chronique, les autorités politiques et administratives de l'Assemblée nationale sont des complices objectifs de ces affaires", a accusé le syndicat, qui affirme regrouper "une centaine" d'assistants de députés de toutes étiquettes. Quand aux autres syndicats rivaux, «complices objectifs de ces affaires », ils apprécieront « leur inaction chronique » …

Le syndicat demande "un véritable statut du collaborateur politique", et "qu'une convention collective soit mise en place, qu'un bilan social annuel de l'Assemblée soit publié". Le syndicat et les "organisations de collaborateurs" ont été reçus mercredi par la questure (trois députés responsables de la gestion de l'Assemblée).

En somme, selon l’UNSA, comme de vulgaires élus de droite, les très sociaux élus de la gauche auraient besoin du contrôle syndical ?

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