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mercredi 1 décembre 2010

Anelka, mercenaire du foot, stigmatise la France et les Français

La France apporte la réussite à la diversité qui le lui rend bien !...
La preuve que l'échelle sociale fonctionne

Les Inrocks consacrent du temps cette semaine à deux Noirs contestés.
Issus de la diversité, ils ont réussi en France. Forts de cette réussite, ces nantis abondent le discours raciste anti-français et stigmatisent aujourdhui le pays qui leur a fait confiance et les a aidés.

Il n'est pas anodin que ce soit ces deux-là

  • Booba, rappeur

    Élie Yaffa est né en 1976 dans les Hauts-de-Seine d'un père d'origine sénégalaise et d'une mère Franco-marocaine. Il insiste dans un entretien pour dire que, malgré son prénom, il est de confession musulmane: Booba est d'ailleurs le diminutif de Boubacar.
    Il s'est d'abord fait connaître avec le groupe underground Lunatic, est incarcéré pour braquage de taxi, mais peut créer sa propre marque de vêtements streetwear.

    VOIR et ENTENDRE le shooting d'Anelka et Booba pour les Inrocks à Londres:

    Anelka et Booba en shooting pour les Inrocks à Londres envoyé par lesinrocks.

    En 2005, 153 députés et 49 sénateurs demandent au ministère de la Justice d'envisager des poursuites à l'encontre de plusieurs groupes de rap, dont Lunatic,
    pour « incitation à la haine de la France »: leurs textes incitent - mais selon eux, et non pas les Inrocks - au racisme "anti-blanc" et à la haine de "la France". Ainsi, les groupes, 113, récompensé par deux victoires de la musique en 2000, Smala, Ministère Amer, Lunatic, et les rappeurs Fabe, Salif et Monsieur R sont accusés de faire "le commerce du racisme au lieu de l'antiracisme". (lien Le Monde )
    Le député député UMP de la Moselle, François Grosdidier, dénonce "le message de violence de ces rappeurs reçu par des jeunes déracinés, déculturés, peut légitimer chez eux l'incivilité, au pire le terrorisme". L'élu cite les paroles du groupe Lunatic : " Quand j'vois la France les jambes écartées, j'l'encule sans huile. (...) Tu m'dis : "la France un pays libre" ; (...) attends-toi à bouffer du calibre. J'rêve de loger dans la tête d'un flic une balle de G.L.O.C.K.".
    Ou celles de la Smala : "Guerre raciale, guerre fatale, oeil pour oeil, dent pour dent, organisation radicale, par tous les moyens il faut leur niquer leurs mères Gouers (Français), c'est toi qui perds..."
    Lien PaSiDupes: Joey Starr fait voir les étoiles aux femmes
    Quant aux violences aux femmes, elles sont en augmentation et les Gaulois y sont probablement pour l'essentiel...
    F. Grosdidier avait déjà attiré l'attention du Garde des Sceaux, Pascal Clément, en fustigeant "FranSSe", une chanson "coup de coeur de la Fnac", pour ces paroles: " La France est une garce, n'oublie pas de la baiser jusqu'à l'épuiser ! (...) Moi, je pisse sur Napoléon et sur le général de Gaulle."
    Liberté d'expression et licence poétique
    Lien PaSiDupes: Un élève à sa prof: "Suce-moi le cul" !

    Des propos que la gauche accepte et expose au rayon de la liberté d'expression.
    "C'est affligeant de voir que les élus ne comprennent pas la pertinence des discours", commente Olivier Cachin, spécialiste du rap français et auteur de L'Offensive rap (Découvertes Gallimard) mais qui commença sa carrière à Picsou Magazine, mensuel de BD édité par Disney Hachette Presse, filiale commune de Hachette Filipacchi Médias et de la Walt Disney Company. "S'ils sont violents, c'est parce qu'ils sont issus d'un milieu extrêmement violent. Il ne faut pas s'attendre à un angélisme de leur part. Après la polygamie, les rappeurs seraient aussi responsables des émeutes des banlieues. C'est d'un mépris incroyable !"
    Il anime deux émissions 'politiquement correctes' sur le Mouv’, radio publique de Radio France, qui cible ainsi les jeunes depuis 1997...

    Le cas Anelka, plus familier, sera abordé à la suite de l'entretien.

    Entretien - La diversité, le choix des Inrocks (extraits)

    « Ils sont riches, adulés mais ils ont un problème avec la France, à moins que ce ne soit l’inverse [sic]. Quand Booba croise son pote Nicolas Anelka, ils parlent du pays [la France ?]

    Nicolas Anelka – J’ai arrêté les cours assez vite à cause du foot, à partir de la troisième j’ai eu des programmes aménagés pour pouvoir aller aux entraînements, donc je n’ai pas vraiment eu le temps d’étudier le français
    Booba – Tu sais pas lire en fait (éclats de rire).

    La France, leurs origines, la Marseillaise

    Est-ce que le fait d’être de la cité, et de le revendiquer, a joué contre toi ?
    Nicolas Anelka – C’est surtout le fait d’être le premier joueur à venir de la cité et à avoir une Ferrari qui donne mal à la tête aux gens. Je n’ai jamais compris pourquoi. Quand j’étais à Madrid, j’avais 20 ans, j’avais l’argent, j’ai acheté une Ferrari. Et les gens me l’ont reproché. [les Espagnols aussi?]
    Booba – C’est parce qu’on vient de la banlieue. On ne parle pas du fait que Johnny Hallyday se déplace en hélicoptère. Pour beaucoup de Français, les mecs de banlieue, ils sont en galère. Les Noirs, ils sont habitués à les voir balayer dans la rue, faire les poubelles, garder les enfants des plus riches. Ou chanter Saga Africa [détails de l'histoire, Y. Noah est vainqueur de Roland-Garros en 1983, puis capitaine de l'équipe de France vainqueur de la Coupe Davis en 1991 et 1996]. Les Noirs, ils marchent pieds nus , ils dansent [comme Noah].
    Mais dès que tu commences à faire du business, oh la la…
  • Dans ton dernier album, tu dis “la patrie n’aime pas les négros”

    Booba
    – Je dis “Le jour de gloire est arrivé, enfants de la patrie/Kalachnikov chargé, toujours de la partie/Mais la patrie n’aime pas les négros.” A l’école, on t’apprend La Marseille, “qu’un sang impur abreuve nos sillons”. Ce sang impur, c’est le mien. Du sang d’Algérie, du sang d’Africain.
    Nicolas AnelkaEn équipe de France, je n’ai jamais voulu chanter La Marseillaise, ça ne m’est jamais venu à l’idée. Et si on m’avait demandé de le faire [on ne l'a pas fait !], j’aurais refusé, j’aurais quitté l’équipe.

    La Coupe du Monde, Domenech, les insultes d'Anelka

    En tout cas, la punchline [rimes formant une phrase au contenu cinglant] de l’année, c’est toi, Nicolas, qui l’a faite pendant la Coupe du monde...
    Nicolas Anelka – Non, c’est eux qui l’ont faite. Moi, je n’ai pas dit ce qui était en une de L’Equipe (« Vas te faire enculer, sale fils de pute » ndlr). Si vraiment j’avais dit ça, je l’aurais assumé. C’est grave, c’est super grave. J’ai toujours assumé. Ils ont fait leur Une avec quelque chose que je n’ai pas dit.
    Booba – Moi, j’étais atterré pendant la Coupe du monde. J’attendais la chute de l’équipe de France. C’était mort depuis le début. Domenech, il met à droite les joueurs qui jouent normalement à gauche. Il utilise l’horoscope pour faire son équipe. Mais la fois où il m’a plié, c’est quand il a demandé sa meuf en mariage après un match pitoyable. Tu fais ça en Angleterre ou en Italie, t’es mort.

    On a beaucoup dit qu’il y avait le clan des joueurs noirs, des Antillais…
    Nicolas AnelkaOn a vu le vrai visage de la France. Dans les moments difficiles, on voit ce que les gens pensent vraiment. On disait “Ribéry a frappé Gourcuff. Gourcuff, le bon Français, Ribéry, le musulman”. C’est parti trop loin. Quand on ne gagne pas, en France, on parle tout de suite des religions, des couleurs…

    Tu ne reviendras jamais en équipe de France, Nicolas ?

    Nicolas Anelka – Mais comment ça se fait qu'on parle encore de moi pour l’équipe de France  ? La vérité, c’est que j’avais dit à Domenech, avant la Coupe du monde, que j’arrêterai la sélection après la compétition, quoi qu’il arrive là-bas. Je lui ai dit clairement. La fédération le sait aussi. Mais ils ne l’ont jamais dit. Ils veulent sortir grandis de cette histoire, comme s’ils avaient rétabli l’ordre. Moi, si Evra ou Abidal avaient été virés, je serais parti avec eux. Chacun sa façon de fonctionner. »


    Nicolas Domenach (Marianne) et Eric Zemmour (Le Figaro) d'accord pour stigmatiser Nicolas Anelka et Booba.br>
    VOIR et ENTENDRE les chroniqueurs dénoncer ces deux "produits ghettoïsés" qui se situent dans "le roman mondial" et international du fric et qui méprisent une France en perte d'influence:

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