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lundi 18 juillet 2011

Les socialistes veulent ignorer le test de résistance de nos banques

Le PS déplore-t-il la solidité de notre système bancaire?


Hamon-le-fielleux ne communique pas sur le sujet:
le porte-parole socialiste occulte la réussite financière de son pays

Soumises aux épreuves de la croissance, des actions et obligations, du marché immobilier et du chômage, les banques françaises BNP Paribas, Crédit agricole, Société générale et BPCE (Banque populaire-Caisse d'Epargne) ont donné satisfaction.

En Europe, sur les 91 établissements testés, huit ont échoué

Le porte-parle du PS ne se félicite pas du bon comportement de la zone euro.

Les socialistes seraient-ils déçus que les banques françaises ne sont pas soumises à une recapitalisation ? En cas de retour aux affaires, ne profiteraient-ils pas pourtant de cette aubaine ? Comptent-ils déjà se prévaloir du bon état du système bancaire?

Sur les 91, les recalés européens de l'EBA (European Bank Authority) sont cinq espagnols, un autrichien et un grec, conséquence, il faut bien dire, de la gestion du socialiste espagnol José Luis Rodríguez Zapatero, de Werner Faymann, du Parti social-démocrate d'Autriche et du grec Georgios Papandréou (PASOK) trois gouvernements socialistes sur les trois pays pointés parmi les 21 concernés. 16 autres banques échappent au redressement de justesse.

Les gouvernements de droite résistent mieux que les autres

L'Italie de Berlusconi réussit au-delà de tout espoir au regard des attaques incessantes dont le chef du gouvernement est la cible mais grâce au renforcement de ses fonds propres. Il est a souligné que le Portugal, désormais à droite, a passé les tests, ses banques privées promettant des augmentations de capital ou des ventes d'actifs.

François Baroin, notre nouveau ministre de l'Economie, se félicite de « la solidité du modèle de banque universelle » à la française.

Mais le silence du PS en dit long sur ses aigreurs, ses mauvais sentiments envers notre système bancaire et l'efficacité de l'action du gouvernement Fillon : les Français le condamneraient d'ailleurs, mais ça, c'est selon eux, avec le soutien des organes de presse qui misent sur la gauche en 2012, mais c'est les juger inconscients.

Le test de la présidentielle que les Français feront passer à la gauche sera-t-il plus favorable qu'à l'Espagne, socialiste depuis avril 2004 ?

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