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vendredi 3 février 2012

Le candidat Hollande discriminerait les enfants sur leur milieu social

Lutte des classes: Hollande serrera la bourse des familles moyennes



Futures victimes du délit de faciès,
au regard de l'inspecteur des impôts Hollande


Le candidat PS remplacerait le quotient familial par un crédit d'impôt
Coup de massue sur les Français européens
Manuel Valls, porte-parole de François Hollande, a confirmé le 10 janvier 2012 que le calcul du quotient familial ne sera plus le même pour tous.
Comme on s'inquiétait de savoir sur RMC si le député de Corrèze a l'intention de supprimer ce quotient qui réduit l'impôt sur le revenu de tous les ménages avec enfants, Manuel Valls s'en est justifié: "Oui, parce qu'il faut rénover notre fiscalité familiale", en le remplaçant par "un système de crédit d'impôt identique pour toutes les familles".
Couac: seules les familles déjà les plus prolifiques seraient stimulées

Quatre millions et demi de familles seraient pénalisées.
Chargé du projet présidentiel, Michel Sapin avait donc rétropédalé, certifiant qu'il s'agissait là seulement d'une "option".
François Hollande a affirmé le 11 janvier qu'il ne veut plus "supprimer le quotient familial", mais "le moduler", assurant qu'il "n'enlèverait pas un euro à la politique familiale". Une reculade en demi-teinte qui inquiète les petits Français les moins aisés.


A noter que le flou socialiste est la règle chez Hollande
Les engagements de François Hollande sont au nombre de 60, contre 110 à Mitterrand... Et encore le candidat de 2012 cultive-t-il le flou, envoyant ses porte-parole parler à sa place et déparler. Michel Sapin envoie des signaux tout aussi sibyllins: il se reprend sans cesse, jouant sur les mots. Ainsi ne parle-t-il plus de "fusion" de l'impôt sur le revenue de la CSG, mais de"rapprochement"...

Or, le candidat du mensonge manipule les électeurs
Sa proposition d' individualisation de l'impôt fusionné à la tête du client entraîne deux conséquences irréfutables : la suppression du quotient familial des "têtes blondes" et celle des niches fiscales.


Le projet de Hollande coûterait cher aux ménages européens



Prochains bénéficiaires de l'injustice sociale






Adieu la politique de l'enfant, bonjour l' "enfant pactole"
François Hollande propose de remplacer le quotient familial par un crédit d'impôt pour chaque enfant.

La politique de classe instrumentalise l'enfant

Dans une note de 150 pages, la direction du Trésor mesure les conséquences de la réforme socialiste: elle reviendrait à pénaliser 50 % des parents salariés en reversant 3,5 milliards aux 50 % les plus défavorisés, et donc mono-parentales ou , avec une visée principale confortant un niveau de fécondité naturelle (chez les méditerranéens, polygames ou non, par exemple), plutôt qu'elle n'incite les cadres professionnellement dynamiques et les femmes actives qui donnent la priorité à leurs carrières sur la maternité.
Sur le fond, droite et gauche vont donc s’affronter classiquement et vertement au nom de principes de justice tout à fait opposés.
Une rénovation de la politique familiale pourrait commencer par un investissement massif pour tous, dans les services d’accueil de la petite enfance et la création d’une allocation familiale au premier enfant, la France étant le seul pays de l’Union européenne à ne pas en disposer.
Si le candidat populiste était cohérent...

Si Hollande ne donnait pas dans l'effet d'annonce, il prendrait en compte toutes les dépenses de politique familiale qui sont proportionnelles au revenu. Et celui qui n'a jamais assez de fonctionnaires -et souhaite en créer 60.000 pour 60 ans- devrait faire face à la logique du supplément familial de traitement, un système de primes dans les différentes fonctions publiques qui augmente les revenus des fonctionnaires ayant des enfants: plus le traitement du fonctionnaire est élevé, plus son supplément familial de traitement est important.
Le candidat socialiste devrait donc logiquement proposer la suppression de la dépense fiscale liée au quotient familial ou la réorientation de cette prime inégalitaire, au regard des critères de justice invoqués...
L'objectif de justice sociale annoncé par le candidat socialiste ne vise pas à l'essentiel: une politique familiale moderne, davantage soucieuse d’égalité entre les enfants, d’égalité entre les parents et de conciliation entre vie familiale et vie professionnelle.

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