POUR

LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

Free speech offers latitude but not necessarily license

vendredi 23 mars 2012

Prosélytisme de "l'émir blanc", rééducateur des frères Merah, djihadistes français

Un ex-"imam", recruteur islamiste en Ariège et au-delà



Olivier Corel, un Français d'origine syrienne,
bien au goût de l'opposition et des juges gauchistes,
a hébergé Mohamed Merah en 2006,
alors qu'il était un mineur de 17 ans,
et avant de faire de la prison...




Abdulilah était son nom de naissance en Syrie, il y a 65 ans.


Aujourd'hui, ses papiers d'identité sont au nom d'Olivier Corel. Dans son village, on le surnomme aussi "l'émir blanc." Cet homme vit depuis 1990 dans une ferme à Artigat, en pleine campagne ariégeoise.

Aveuglé par son idéologie, Me Etelin, l'avocat libertaire du tueur, accuse à tort et à travers
Les deux frères Merah, Mohamed et Abdelkader, se sont rendus dans cette ferme en janvier dernier. Cette démarche personnelle accrédite la thèse de la soumission des deux hommes aux imams et fragilise l'accusation politique de l'avocat. L'influence du grand frère, un fanatique fondamentaliste musulman connu pour sa violence, semble bien avoir été également déterminante sur son cadet. Enfin, les deux hommes ont été élevés par une mère seule: le père de Mohamed a abandonné sa famille en France pour retourner en Algérie, alors qu'il avait cinq ans. Les deux fils ont cherché l'image d'un père parmi les extrémistes de leur entourage.
Me Etelin ressort donc une thèse simpliste et éculée qui ignore le parcours individuel de ces deux individus d'autant plus jusqu'au-boutistes qu'ils sont fragiles et en quête d'affirmation existencielle.

ENTENDRE
le reportage de France Info, le 23 mars 2012:

Le Parisien-Aujourd'hui en France croit savoir qu'il s'agissait de régler le divorce religieux de l'aîné de la fratrie. "Quand on frappe à ma porte, je l'ouvre à quiconque" explique Olivier Corel au journaliste du quotidien.

[L'ex-imam refuse d'assumer ses responsabilités dans les actes de Mohamed Merah]
"Ce n'est pas à moi de juger ce que cet homme a fait", souffle [l'irresponsable] entre son épaisse barbe, "je ne suis pas spécialiste de la juridprudence du Jihad."

La justice anti-terroriste a longtemps pensé le contraire.
[Bien que le couple infernal Hollande-Joly accuse la police française d'un manque de vigilance] en 2007, les forces de l'ordre débarquent à l'aube dans la ferme du couple Corel. Un coup de filet mené dans le même temps à Toulouse, Bruxelles et en région parisienne. Les enquêteurs soupçonnent l'émir blanc de l'Ariège d'organiser une filière djihadiste, à l'époque en direction de l'Irak.

Trois Français seraient partis en guerre sur les conseils de cet homme, salafiste, qui sert aussi d'imam à une petite communauté des environs. Dans un article du Nouvel Observateur de l'époque, une voisine se souvient de ces gamins des barres HLM de Toulouse, souvent d'ex petits délinqants sauvés par la religion, qui débarquent dans la ferme des Corel.

Déjà, le nom d'Abdelkader Merah apparaît dans le dossier
L'émir blanc, un temps mis en examen pour "association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste", a finalement été blanchi par un juge.

Aujourd'hui, Olivier Corel glisse malicieusement qu'il connaît bien le juge antiterroriste Marc Trévidic...
Et ne se fait aucune illusion... Après les tueries de Toulouse et Montauban, il s'attend à voir les policiers frapper à sa porte. "Je n'ai rien à cacher", conclut il, serein, avant de refermer la porte de sa ferme ariégeoise.

3 commentaires:

  1. http://www.paris-normandie.fr/article/rouen/affaire-mohamed-merah-lhallucinante-minute-de-silence-dune-professeure-rouennaise

    RépondreSupprimer
  2. J'ai connu le personnage il se nommait aboukoutada et sa femme nadia,
    danger danger se sont des gens qui peuvent vous faire un lavage de crane si mohamed merah a eu a faire a lui et bien je comprend ce pauvre gosse pommé tomber entre les mains de ce gourou sectaire .
    A l époque je devait habiter a Artigat avec mon ex epoux et je n ai jamais voulu et je n avais pas leurs foi!!! j en avais peur
    Heureusement qu il y a maintenant plus 25 ans que j ai quitter ses malades ce monde de fou d intégriste radicale j avais 20 maintenant je suis une femme mariée heureuse completement intégrée vie normale quoi de monsieur et madame tout le monde!!!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. et pourquoi, il n'y a pas très longtemps, tu voulais leur confier ton fils qui se droguait.

      Supprimer

Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):