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samedi 2 juin 2012

Dans la presse socialiste, le patron de l'AFP est nommé à Matignon

Ayrault récompense Fabrice Bakhouche, directeur général adjoint de l'AFP


Et un énarque de plus
arrive aux manettes: quand ce n'est pas à l'Elysée,
c'est à Matignon.



La carrière fulgurante des militants socialistes vertueux

Après le limogeage des trois hauts fonctionnaires à la tête des services de police... 
Fabrice Bakhouche, arrivé en février 2011 à l’AFP pour y exercer les fonctions de directeur général adjoint, va quitter l’Agence pour rejoindre le cabinet du Premier Ministre, où il s’occupera des dossiers concernant les media et l’économie numérique.   


A seulement 37 ans, cet énarque  (2001-2003) diplômé de l'IEP de Paris (1996) est passé par le  ministère des Affaires Etrangères (aux affaires France-Amérique latine: Mercosur, Chili et Bolivie), avant de rejoindre la Cour des comptes (2003), où il fut en charge de l'audit de plusieurs dans le secteur audiovisuel public, et l'agence des participations de l'Etat. Chargée de gérer les participations de l'Etat dans les entreprises, elle releve directement du ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, après avoir été rattachée, jusqu'en 2011, à la direction générale du Trésor..

Ainsi la presse était-elle aux ordres de Sarkozy...


A l’AFP, il a notamment suivi la mise en œuvre des chantiers prioritaires qui ont joué un rôle majeur dans la politique de développement, de diversification et d’internationalisation de l’Agence. Il était en particulier chargé des projets de développement dans le domaine de la vidéo, du mobile ou encore du sport, ainsi que de la gestion des filiales de l’Agence.


Le matin du 1er juin 2012, en comité exécutif, Emmanuel Hoog a salué " son travail sérieux et efficace, ses qualités humaines partagées par tous, son sens de l’intérêt général et son goût de l’écoute et du dialogue. Tout cela, il a su le mettre au service des valeurs d’indépendance et de rigueur professionnelles de l’agence. Nous l’en remercions ".  
En 1999, au côté de Jack Lang, il lança le Printemps des Poètes, qu'il anime avec André Velter durant ses trois premières éditions.
Auparavant, Hoog  avait été conseiller chargé de la culture et des médias auprès de Laurent Fabius, d’abord à la présidence de l’Assemblée nationale entre 1997 et 2000, puis au Ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie jusqu'en 2001.

Pour mémoire enfin, 
rappelons aussi que Canal + est dévouée au PS depuis que François Mitterrand l'a portée sur les fonds baptismaux et confiée au parrain André Rousselet, que son entreprise en taxis (G7) n'aurait pas a priori destiné à l'audio-visuel, s'il n'avait été un ami intime du président... dont il était l'exécuteur testamentaire.

Pendant sa campagne, François Hollande a pu compter sur le soutien de Jean-Jacques Augier, énarque de la promotion Voltaire et ancien patron des ...taxis G7 ! Avec Bernard Cottin, ex-PDG de Numericable, ce patron a levé des fonds pour le candidat socialiste.

Les préférences de la presse "indépendante" se portent-elles manifestement vers la droite ?
On peut le dire et le répéter, mais les faits prouvent le contraire.
  

10 commentaires:

  1. Désolé de vous répondre par des avis non conformistes,de la pensée et attitudes uniques,
    Je ne comprends pas le mot E.N.A
    Serait-ce un nouveau parti?

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  2. Pa de souci c'est tout simplement :


    L"École nationale d'administration
    ( la formation des décideurs publics de demain.
    Strasbourg, France )

    avec les avantages correspondants

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  3. HÉ OUI , NOUS VOILÀ DANS DE BEAUX DRAPS , ET CEUX QUI NOUS TAXAIENT DE MENSONGES SONT PRIS AU PIÈGE.

    Le Directeur général adjoint de l’AFP depuis février 2011, Fabrice Bakhouche, a été nommé à Matignon comme conseiller médias et économique numérique de Jean-Marc Ayrault. Une information qui en dit long sur les rapports entre les journalistes et le PS… et qui illustre le traitement médiatique partisan de la dernière campagne présidentielle.

    Avec trois ministres plus le Président de la république qui vivent en couple avec des journalistes, on savait que le PS et les médias français étaient de mèche. Il restait un doute sur l’Agence France Presse, organe censé être indépendant, ne pas pratiquer d’analyse et se contenter de relater des faits.

    Il n’aura pas fallu bien longtemps au gouvernement de Jean-Marc Ayrault pour démontrer que l’AFP, comme tous les autres organes d’information, est à la botte du Parti socialiste. Le directeur général adjoint de l’agence de presse, Fabrice Bakhouche, est donc le nouveau surveillant du web pour Ayrault. Il sera chargé de contrôler que les internautes correspondent à l’idéologie ambiante de gôche.

    Une récompense pour services rendus au pays pendant la campagne, où le comportement de l’AFP en faveur de Hollande a parfois été déroutant ? Le carnet d’adresse et l’influence de l’ancien journaliste permettront-ils au gouvernement de finaliser la prise de contrôle des cerveaux français ?

    Cette nomination est une nouvelle provocation des socialistes, qui affichent clairement leur position et leur volonté d’annihiler toute parole dissidente, tout journaliste qui ne pense pas comme eux. Parallèlement, elle prouve la connivence incroyable qu’il y a entre le PS et les journalistes français. Une connivence qui leur a permis de gagner la présidentielle où, comme par hasard, tous les journaux reprenaient en Une une rumeur fumeuse initiée par un dictateur et un site web trotskiste mais ils refusaient d’évoquer un livre de journalistes, saturé de preuves et dont personne ne contestait la vérité, qui montraient les méthodes mafieuses du parti à la rose.

    Avec la probable éviction d’Éric Zemmour et cette nouvelle nomination scandaleuse, il n’est plus exagéré de parler de propagande.

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  4. Après ce qui précède , j'espère que de plus en plus de visiteurs, vont se manifester et faire un commentaire.
    Nous sommes dans le pays des droits de l'homme et des libertés fondamentales.
    ne l'oublions jamais.

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  5. À RELIRE EN VUE DES LÉGISLATIVES

    De gauche et favorable au bilan de Sarko!

    Tribune de Jean Marichez, publiée le 19 février 2012, à priori plutôt de gauche, habitant de Montmélain depuis 1994 et chercheur à "L'Ecole de la paix de Grenoble".

    Les résultats de Nicolas Sarkozy

    A l’approche de nouvelles élections, il est étonnant d’observer la violence et l’injustice des opposants de Nicolas Sarkozy. Selon eux, il n’aurait rien fait, il n’aurait pas tenu ses promesses. Alors, regardons le travail qu’il a réalisé car, au contraire, j’ai l’impression qu’il a réalisé un travail considérable. Selon Alain Minc en 2010 : "En trois ans, Sarkozy a fait plus que Giscard en sept et encore plus que Chirac qui n'a rien fait en douze".

    Qu'en est-il exactement ?

    J’ai extrait de quelques journaux la liste de ses principales réalisations mais aussi de ce qu'on lui reproche.

    concernant les reproches, j’ai toujours été frappé par la fragilité des accusations. Les critiques m’ont toujours paru futiles, superficielles, inconsistantes. Et elles reviennent sans cesse comme si tous les journalistes lui en voulaient :
    - Sa soirée au Fouquet's après la victoire aux élections
    - Ses réparties en langage trop populaire
    - Le soutien d'un ministre de l'intérieur taxé d'injure raciale
    - Ses liens avec des grands patrons
    - Son franc parler, sa taille, etc.

    Pourquoi cela ?

    Peut-être parce qu’il dérange par le nombre et l’importance des réformes qu’il fait (celui qui ne fait rien n’est pas critiqué). Mais surtout, je crois, les intellectuels ne lui pardonnent pas d’occuper le terrain des idées qu’ils occupaient depuis 1968. Contrairement à ses prédécesseurs, il dit les choses en toute simplicité, quitte à remettre en cause quelques idéologies sacralisées. Par exemple, sur les sanctions à la jeunesse délinquante, sur l’immigration incontrôlée, sur l’assistanat excessif, etc. L’intelligentsia parisienne ne lui a jamais pardonné de parler de manière décomplexée de vérités qui ne font pas partie de l’idéologie politiquement correcte. Ainsi, toutes les occasions ont été bonnes pour dire du mal de lui. Difficile d’être réélu lorsque tous les médias et beaux parleurs vous attaquent sans cesse comme le faisaient les prêtres de l’Inquisition.

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  6. SUITE : pour savoir nous défendre
    Or quelle est la réalité ?

    Au préalable, pour l’honnêteté de mon propos, je dois dire que je ne suis pas un inconditionnel de la droite, j’ai parfois voté à gauche : en leur temps, j’ai fait confiance à Mendès-France ou à Michel Rocard. Si j’étais américain ou chinois, je serais certainement à gauche. Par ailleurs mes travaux personnels sont très nettement progressistes si l’on en juge par les deux livres que j’ai écrits. De plus, je n’ai pas toujours été d’accord avec les décisions de notre gouvernement actuel, par exemple sur la réduction des droits de succession, sur la baisse de TVA aux restaurateurs, sur le manque d’avancée fédéraliste européenne, etc. mais je constate qu’il a accompli un travail impressionnant, non seulement en nombre (931 réformes en cinq ans) mais en qualité. Il s’est attaqué aux réformes difficiles que même Lionel Jospin n’avait pas osé faire malgré une conjoncture meilleure. Et c’est vrai, il a remis la France à l’endroit sur des rails moins idéologiques, plus pragmatiques. C’est en tout cas l’avis de nombreux commentateurs étrangers qui se désolent de nos excès de religiosité socialiste.

    On lui a reproché d’augmenter le déficit public. Mais est-ce de sa faute s'il fallait absolument sauver l'économie française suite à la crise des subprimes ? Puis s'il fallait sauver la Grèce pour ne pas engager une spirale contre l'Euro qui aurait été catastrophique pour tout le monde et surtout pour les plus faibles. La crise lui coûte cher car elle l'a obligé à nous endetter lourdement pour ne pas plomber nos emplois.

    On lui a reproché d’aider les banques alors qu'elles sont responsables de la crise. Oui, mais sans ce plan de sauvetage les petits épargnants auraient tout perdu et le chômage aurait augmenté au détriment de l'ensemble des Français. De plus, elles ont maintenant totalement remboursé les aides reçues.

    On lui a reproché l’augmentation du chômage. Mais la crise n’est pas de sa faute. Au contraire, il a réussi mieux que les Américains, et que la plupart des autres pays européens, à contenir le chômage. Celui-ci ne serait-il pas plus élevé avec des gouvernants de gauche qui, pour l'éviter, auraient dépensé des milliards contre-productifs dans l'assistanat et le dépannage à court terme ? Lui a privilégié le long terme en soutenant l'investissement. C’est courageux car les résultats n’apparaîtront que plus tard et ne lui profiteront pas sur le plan électoral.

    On lui a reproché de favoriser les riches. En fait, peu de gens comprennent que son but n'est pas de faire de cadeaux aux riches mais d'empêcher les gens fortunés de quitter le pays et d'investir ailleurs, donc d'avoir suffisamment de gens riches en France pour qu'ils y investissent et créent du travail. Il faut absolument comprendre que la lutte contre le chômage passe par l'existence d’un grand nombre d’entrepreneurs aisés et soutenus dans leurs efforts.

    On lui reproche d’être le président des riches. Mais il est au contraire le premier de nos présidents à avoir pris des mesures égalitaires importantes. Ainsi, alors qu’on lui reproche de favoriser le capital et de ne pas le taxer autant que le travail, il a fortement augmenté les taxes sur le capital afin de les mettre à peu près au même niveau (34,6%) alors qu’ils étaient taxés de 10% de moins sous Lionel Jospin. C’est passé inaperçu mais ses opposants ont continué à l’accabler d’une image anti pauvres qui continue, malgré les faits à lui coller à la peau. Même chose pour l’impôt sur la fortune qu’il a maintenu globalement au même niveau mais en sortant seulement les propriétaires de logements dont les valeurs sont conjoncturellement trop élevées du fait de la crise du logement. La baisse de recettes a été entièrement compensée par l’augmentation de fiscalité sur la transmission du capital. Autrement dit, il taxe la transmission de capital plutôt que le capital lui-même, ce qui est souvent décourageant.

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  7. SUITE À REVOIR
    On lui reproche d’avoir augmenté son salaire de Président de 30%. La vérité est toute autre. Avant lui, le budget de la Présidence était un mystère, un domaine réservé où les dépenses du président se confondaient avec le budget de l’Élysée. Il a voulu moderniser tout cela et installer la transparence. Il a donc décidé que son salaire serait égal à celui du premier ministre et que les comptes seraient désormais soumis au contrôle de la cour des comptes. Comment comprendre que les journalistes ne nous aient jamais expliqué cela ? Sont-ils si incapables ? Non, plus simplement partisans.

    On lui a reproché de ne pas tenir ses promesses. C’est injuste car, non seulement il en a tenu beaucoup, mais il l’a fait dans une situation de crise inouïe que, personne n’avait vraiment prévu avant son élection.

    En fait comme on est en crise, tout le monde se plaint et, comme il faut un bouc émissaire, on l'accuse naturellement de nos difficultés. Curieusement, au lieu de parler de "ce qu'il fait", les médias passent leur temps à parler de lui, de sa manière, de ses intentions cachées, de son omniprésence, de ses petites phrases, etc. Pourquoi parlent-ils si peu du contenu, autrement dit des vraies questions ?

    Alors justement regardons ses résultats. Ils sont impressionnants.

    Des réformes qui vont marquer le pays en profondeur et qui sont un véritable progrès de notre démocratie (elles sont courageuses car les cinq premières réduisent son propre pouvoir de président) :

    - La possibilité de recours individuel devant le conseil constitutionnel
    - Modification de la constitution et Réduction des pouvoirs du Président de la République au profit du Parlement et des citoyens
    - La limitation à deux mandats de cinq ans pour le Président de la République
    - Nouveau droit donné aux députés de fixer un tiers de l'ordre du jour de l'Assemblée, leur permettant de mieux contrôler le gouvernement
    - Réunion annuelle des deux chambres réunies à Versailles pour entendre le Chef de l’État
    - La loi de représentativité syndicale qui les renforcera tout en favorisant le dialogue social.
    - L'autonomie de l'Université réclamée depuis 1968 par P. Mendès-France, leader de la gauche. Même imparfaite, elle met à bas le tabou de l'égalitarisme et sera porteuse de fruits sur le long terme.
    - Réforme des collectivités territoriales que depuis 20 ans aucun gouvernement n'avait réussi
    - Réduction du nombre d’élus avec la création des conseillers territoriaux en lieu et place des conseillers généraux et des conseillers régionaux.
    - Redéfinition des cartes judiciaires qu'aucun gouvernement précédent n'osait faire
    - Ouverture de la saisine du Conseil supérieur de la magistrature aux personnes qui veulent mettre en cause le fonctionnement de la justice jusqu’à même sanctionner des magistrats
    - Redéfinition de la carte des villes de garnison que personne n'osait faire
    - Redéfinition de la carte hospitalière
    - Mise en chantier de la modernisation du Grand Paris
    - Rapprochement des policiers et gendarmes sous la même autorité, d’où une amélioration de 50% d’élucidation des crimes et délits
    - Création du service civique volontaire (15 000 jeunes engagés pour 45 000 demandes en 2011 et 75000 en objectif 2014)

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  8. ACTIONS DE SARKOZY
    Assistance
    - *Augmentation de 30% du budget de logement des Sans abri qui est passé à 1,13 milliards
    - *Annoncés en mars 2010, onze établissements de réinsertion scolaire fonctionnent désormais (cent cinquante élèves de 13 à 16 ans ont rejoint ces structures, 9 autres sont prévus en 2011)
    - *Forte augmentation des bourses et des logements pour étudiants
    - *Création du RSA (1,9 millions de foyers aidés – mais surtout, il n’est plus aussi intéressant qu’avant de ne pas travailler
    - *Revalorisation de 25% sur 5 ans l’allocation adulte handicapé et le minimum vieillesse
    - *Création d’un prime pour les salariés des entreprises dont les dividendes augmentent
    - *Assouplissement des accords d’intéressement des salariés aux fruits de leurs entreprises

    Économie (chiffres selon l’Insee)
    - Augmentation de 4% du pouvoir d’achat des Français durant le quinquennat
    - Et diminution de 1 million du nombre de personnes qui gagnent moins de 15 000 € par an

    J’ai repéré d’un * les mesures ci-dessus à fort impact social ou favorables aux chômeurs. On voit qu’elles sont nombreuses et contredisent radicalement l’idée d’un gouvernement pour les riches.

    En politique étrangère :

    - Efficacité dans le choix de la méthode (traité de Lisbonne) pour résoudre la crise européenne due au référendums négatifs en France et aux Pays-Bas
    - Leadership de la France dans la résolution des multiples crises européennes. Même si le poids financier de l’Allemagne restait majeur, c’est toujours lui qui fut initiateur, moteur et entraîneur.
    - Efficacité dans la gestion du conflit en Géorgie où il assura l’indépendance géorgienne
    - Courage et efficacité déterminante dans la gestion militaire de la crise en Côte d’Ivoire
    - Courage et efficacité déterminante dans la gestion militaire de la crise en Lybie
    - Retour de la France dans l'Otan
    - Création du G20 où son volontarisme fut décisif. Cette instance empêchera peu ou prou les facilités du chacun pour-soi en matière économique et réduira les risques de chaos mondial en augmentant la possibilité de prises de décisions internationales
    - Meilleures relations avec les États-Unis, l'Angleterre, la Russie, la Chine, l'Inde, le Brésil…
    - Signature de nombreux grands contrats dans de nombreux pays
    - Engagement acharné en faveur de l’Euro
    - Gestion imaginative et énergique de la crise
    - Ses qualités d'intelligence, de courage et d'esprit de décision sont largement reconnues par des chefs d'État étrangers





    En politique intérieure

    - Il a gouverné sans drame et assuré la paix, la justice et le respect des libertés et opinions
    - On peut dire que globalement il a gouverné au centre
    - *Il a intégralement maintenu notre système de protection sociale.
    - *Il a fait preuve d’une grand esprit d’ouverture (comme jamais auparavant) en nommant des opposants à des postes majeurs comme la présidence du FMI en 2007, la présidence de la commission des finances, la cour constitutionnelle et la présidence de la cour des comptes
    - Il n'a calé sur aucune réforme qu'il croyait juste malgré des grèves et manifestations importantes pour les Régimes spéciaux et l'Université. Il a reculé sur la réforme des lycées avec Xavier Darcos mais il l’a réalisée avec Luc Chatel. A l'occasion des retraites, il a rétabli le fonctionnement de la démocratie grâce à sa fermeté devant des millions de manifestants qui, enfin, replace la légitimité des décisions à sa vraie place : le parlement. Il en a eu le courage alors qu'il était tellement plus facile de céder (comme l'ont toujours fait avant lui Balladur, Chirac, Jospin …)
    - *Il n'a pas taxé nos transactions bancaires comme Angela Merkel en Allemagne
    - *Il a garanti les crédits des banques, énorme décision qui a stoppé net la panique des épargnants au point qu'ils étaient prêts à vider leurs compte, ce qui aurait été un pur désastre .


    Voir suite et fin

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  9. Suite et fin : actions Sarkozy

    Autres résultats

    - Réunion des Assedic et de l'Anpe, pour l’efficacité.
    - Fusion réussie entre les services des impôts et la comptabilité à Bercy (qui avait même fait tomber un ministre socialiste)
    - *Remise de la France au travail par diverses mesures d’encouragement
    - *Changement des règles de la grande distribution et mise en place d'une autorité renforcée de la concurrence
    - *Refus d'augmenter nos impôts
    - *Délais de paiements raccourcis aux entreprises
    - *Aide aux PME par les contribuables qui veulent alléger leur ISF
    - *Aide aux associations d'utilité publique par les contribuables qui veulent alléger leurs impôts

    Chantiers en cours où sa volonté permet d'espérer

    - *Lutte (en pointe des autres États) contre la spéculation, l'excès de puissance des Hedgefunds et les paradis fiscaux qui seraient une vraie réponse à la crise mais qui ne peuvent se réussir sans accords internationaux très difficiles à obtenir.
    - *Courageuse mise en place cependant de la fameuse taxe Tobin pour freiner la folie des transactions financières
    - *TVA anti- délocalisation de notre industrie
    - Militance pour la mise en place d’une règle d’or assurant constitutionnellement l’équilibre de nos comptes.

    Tout ceci pour rappeler le bilan de N.Sarkozy
    bilan reconnu et approuvé à la télé par des économistes sérieux mais un peu tard."
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    À coté de tout ceci les 60 engagements de Flamby me navre , il faut en prendre conscience pour que toute cette action ne soit pas " détricotée bêtement " par un gouvernement incapable de distinguer le nécessaire du superflu , en ces temps de crises qui ne vont pas s'arrêter par magie.

    Voilà pourquoi les législatives sont plus qu'importantes et il ne faut pas baisser les bras , il faut voter en masse pour l'UMP.

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  10. Mais comment as-t-on pu , critiquer un tel bilan, patapouf et ses comparses bien sûr, et les socialos se sont précipités pour applaudir alors qu'ils ignoraient, la réalité de ce bilan et avalaient n'importe quelle idiotie
    pour en arriver à quoi?

    À ce qu'on voit chaque jour : un désastre sur tous les fronts.
    NE PERMETTONS PAS QUE TOUT CECI, À CAUSE D'UN EGO DÉMESURÉ, SOIT DÉMOLI.

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