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samedi 29 septembre 2012

Grenoble: deux jeunes gens tués par une bande

Valls et Taubira se transporteront-ils  à Grenoble en grande  pompe, comme à Marseille ?

Destot, le maire PS de Grenoble
et le préfet, en 2010

Deux jeunes sans histoires ont été tués vendredi soir par un groupe 

Le gang  a "fondu" sur eux à la Villeneuve, un quartier sensible de la banlieue de Grenoble, à la suite d'"une bagarre d'une grande banalité", a décrit samedi le procureur de la République à Grenoble, un  brin blasé.
Vers 21h00, les deux victimes, âgées de 21 ans, étaient dans un parc de la Villeneuve, à Echirolles, lorsqu'une bande d'une quinzaine de personnes, à pied et à scooter, muni de couteaux, de manches de pioche, de marteaux et de battes de base-ball, s'est abattu sur eux, a précisé le procureur de la République, Jean-Yves Coquillat.

Les agresseurs, comme Hollande, n'aiment pas les riches ?
La première victime, dont la mère est pédiatre, est étudiante en master à Aix-en-Provence. Elle est décédée vendredi soir à l'arrivée des secours, après avoir reçu plusieurs coups de couteau, dont l'un mortel au thorax.
Le second jeune homme, dont le pronostic vital était engagé lors de son transfert au centre hospitalier de Grenoble, est décédé samedi matin."Nous n'avons pas affaire à des délinquants. On n'est pas du tout dans le cadre de l'appropriation du territoire ou du trafic de stupéfiants", a assuré M. Coquillat, alors que les victimes, amis d'enfance, étaient inconnues des services de police. "On n'est pas du tout dans le contexte qu'on voit parfois de règlement de comptes, de gangs", a-t-il nié.

L'historique des faits
Banal, fortuit et non prémédité ? 
Tout aurait débuté par une première dispute vendredi vers 17h00 entre le petit frère de 16 ans d'une des victimes et un camarade, à la sortie du lycée. Un "mauvais regard" aurait suffi à provoquer une altercation entre les deux jeunes, à laquelle le grand frère de l'un d'eux se serait mêlé.
Puis, vers 20h00, de manière" fortuite", deux groupes d'une quinzaine de personnes, composés des frères des adolescents qui s'étaient disputés précédemment, se sont affrontés dans la rue, mais les policiers sur place n'avaient constaté aucune victime.
VOIR et ENTENDRE le compte-rendu de BFMTV qui chiffre à une trentaine le nombre de meurtres en région grenobloise en trois ans:



"On n'est pas du tout dans le cadre de l'appropriation du territoire" ?
Selon des voisins, les assaillants seraient des jeunes habitant un autre secteur du quartier, situé sur Grenoble et séparé d'Echirolles par un centre commercial.
Le camarade aurait alors dû présenter ses excuses au petit frère de la victime, ce qui aurait conduit à une troisième rixe, une "expédition punitive destinée à laver cet affront".

Des douilles d'une arme à feu non létale, provenant d'un pistolet à grenaille
 ont également été retrouvées dans le parc, entouré d'immeubles.
Des traces de sang, des gants médicaux et des emballages de matériel médical gisaient samedi matin sur les lieux de l'agression, encore parsemés de tessons de bouteille.

La Villeneuve à Grenoble, zone de non-droit
VOIR et ENTENDRE ce reportage d'octobre 2010 sur France 3 qui évoque les violences urbaines liées au braquage du casino d'Uriage par Karim Boudouda, voyou de 27 ans, condamné trois fois en Assises et tué dans sa fuite:



Reportage Grenoble Villeneuve Ultraviolence... par CLK38

Liens PaSiDupes:

L'intense empathie de Valls
Par communiqué, le ministre de l'Intérieur a témoigné de son "intense émotion". Sans prendre parti pour les malheureuses victimes. Il a demandé au préfet et au directeur départemental de la sécurité publique "de mettre tous les moyens nécessaires à la disposition de l'enquête conduite sous l'autorité du procureur de la République, afin que les auteurs de ces actes barbares soient rapidement arrêtés".
Le dispositif policier de présence sur le terrain est également "immédiatement renforcé pour les prochains jours", a annoncé le ministre, qui ne semble donc pas accréditer la thèse de la fortuité du procureur.
Une personne, considérée comme un témoin privilégié, a été entendue samedi à l'hôtel de police de Grenoble avant d'être relâchée. Aucune autre interpellation n'a eu lieu.
"Les langues vont se délier. Nous allons entendre des témoins, ce qui devrait nous permettre d'en savoir plus sur ce qui s'est passé", a ajouté un responsable de la police.
Un cordon de sécurité avait dû être installé vendredi soir aux urgences de l'hôpital après l'arrivée des familles des victimes et de leurs amis, très remontés, excusez-les du peu !, a précisé la même source, qui souligne toutefois "l'extrême dignité" dont font preuve les familles.

1 commentaire:

  1. Ce matin j'entendais sur une radio un "savant" qui était de Grenoble qui connaissait tout sur tout, il a étudié le problème etc...............sa réponse à la question du journalste c'est la culture de l'excuse, "on" a pas su integrer leurs parents........apprentissage du français bla bla bla..........donc ils se sentent rejeter......allez taubira, un rappel à la loi et ça ira bien.

    Donc dans la culture de ces gens là, c'est normal de tuer quelqu'un qui n'a pas une tête qui leur revient ou qui ne mene pas une vie selon leurs codes.........parce que les parents ne parlent pas la langue........

    Notez que le regroupement familial n'est pas étranger à ces générations de malfaisants.

    Les immigrations précedentes n'ont pas produit des troubles à l'ordre public et l'insécurité comme aujourd'hui.

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