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samedi 22 septembre 2012

J-V. Placé (EELV) aimerait nous sucrer le diesel

Encore un interdit de la gauche socialo-altermondialiste 

Le président du groupe Europe Ecologie-les Verts (EELV) au Sénat a demandé l'interdiction de circuler en voitures diesel dans les grandes villes, dans trois ans, pour commencer.


Vendredi sur Europe 1, l'élu de l'Essonne et collègue de Cécile Duflot a fait de la surenchère sur la proposition lancée par le député PS Jean-Marie Le Guen. 
"Il faut indiquer le cap, dans les trois ans, d'interdiction d'utilisation du diesel dans les grandes villes", a renchéri M. Placé, le jour d'ouverture de la conférence environnementale. 
"Ce sont des mesures notamment européennes qui commencent à se mettre en place et nous, comme souvent, nous sommes à la traîne", a-t-il déploré. 

Faut-il carrément interdire ce carburant ? 

Sans nuance, ni exception pour les véhicules autres que les 4x4, 
l'élu de la gauche radicale d'Europe Ecologie-Les Verts a répondu catégoriquement: "A terme oui, bien sûr". 

"Premièrement, il y a des niches fiscales qui favorisent le diesel dans notre pays et celles-là, il faut progressivement les supprimer. J'en ai parlé à Jérôme Cahuzac", ministre du Budget et "il n'a pas été très réceptif, a admis le sectaire. Le débat parlementaire, j'espère, fera avancer la cause". 

Le sénateur écologiste a aussi pointé "la fabrication par Peugeot - sans vouloir les accabler (sic)- de voitures hybrides diesel"
Ce sont "deux messages contradictoires ! Ca devient ridicule", a estimé le totalitaire d'origine coréenne incapable de pratiquer la transition énergétique et la diversité de l'offre. 

Cet hybride ne veut voir qu'une seule tête.

Quant à Jean-Marie Le Guen, dès le 12 septembre,
 avant Placé, le recycleur Verts d'idées éculées, le Dr Jean-Marie Le Guen, adjoint au maire de Paris en charge de la santé, avait déjà proposé l'interdiction des véhicules diesel dans Paris pour lutter contre les particules fines. Il suggérait alors de discriminer les bons des méchants citoyens, proposant que les "Franciliens fragilisés par la crise et qui n'ont d'autre choix que de recourir à leur voiture diesel pour venir travailler" bénéficient d'une "politique de soutien renforcée" pour remplacer leurs véhicules. Les chauffeurs de taxis sont-ils fragilisés ? 


Le ministère de l'Ecologie devait réunir le 20 septembre sept collectivités volontaires pour expérimenter des "zones d'accès prioritaires pour l'air" (ZAPA), où l'accès des véhicules les plus polluants serait restreint : Paris, Saint-Denis, Lyon, Grenoble, Bordeaux, Clermont-Ferrand et Aix-en-Provence.L'amère de Lille n'a donc encore pas entendu cet appel: arrosait-elle la grande braderie ?


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