POUR

LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

Free speech offers latitude but not necessarily license

dimanche 11 août 2013

Hollande indispose Christiane Taubira

Hollande, le président contesté par ses ministres Montebourg et ...Taubira

La féministe ne supporte pas "d'avoir un patron"

La garde des Sceaux préfère se laisser guider par sa "conscience".
Dans un portrait que lui a consacré le New York le 10 août, l'électron libre affirme : "Je ne supporte pas d'avoir un patron."

La ministre conteste l'autorité de Hollande.

 Dans un portrait que consacre le New York Times à Christiane Taubira, la "minuscule", mais "fougueuse" ministre de la Justice affirme son indépendance d'esprit. La garde des Sceaux - dont les vacances guyanaises ont été secouées par plusieurs polémiques [remise en liberté de trois condamnés à Chartres et décret de la Cour de cassation en 2004], explique son fonctionnement : "Ma conscience est mon patron. Et ma conscience me dicte des règles qui sont, je dirais, extrêmement grandes. Elles sont rudes, mais belles."

Un ego surdimensionné
 

"J'ai toujours fait mes propres choix", ajoute la ministre qui dit accepter d'en payer le "prix". Avant de poursuivre : "J'ai toujours eu une grande liberté. J'ai toujours eu du mal avec l'endoctrinement." Hollande, M. Jourdain du viol des consciences, ne s'attendait pas à celle-là.

La militante guyanaise reste attachée à sa jeunesse indépendantiste
Co-fondatrice en 1993 du parti Walwari (17 % de voix aux élections régionales de 2004) dont elle devint présidente, Taubira a un passé militant d'indépendantiste. Dans les années 1970, ses premiers engagements politiques furent en faveur d'une nation guyanaise. Après l'arrivée du socialiste François Mitterrand à la présidence en 1981, elle vira vers l'autonomie de la Guyane.

Le mariage, pour Taubira, est une image
 

Marché aux esclaves,
tableau peint par
J-Léon Gérome vers 1884

L'occasion aussi pour le quotidien américain de revenir sur la loi Taubira votée au printemps dernier, qui ouvre le droit au mariage et à l'adoption pour les couples homosexuels. "Les sociétés ont leurs résistances", juge alors la ministre de la Justice, qui a porté ce texte. "Il y a des gens qui (…) ont choisi de s'accrocher à de vieilles images", lance-t-elle.
Le boomerang lui revient en pleine face
Elle est en effet à l'origine de la loi Taubira 2001, qui érige en loi mémorielle, le crime contre l'humanité des traites et des esclavages pratiqués à partir du XVe siècle sur certaines populations.
Et pas d'autres (évocation ci-contre) - lien Hérodote: 622 au XXe siècle, l'esclavage en terre d'islam...

Nous ne savons rien des quatre enfants de cette divorcée, mais sa motivation à soutenir le mariage et l'adoption pour les personnes du même sexe pourrait trouver une origine familiale.

Divorcée, elle est elle-même mère de Elle dénonce certains slogans entendus lors des manifestations contre ce projet de loi, à l'image de "Taubira, t'es foutue, les familles sont dans la rue". 

Taubira glisse avec aisance
 sur certains outrages

Incapable de remise en cause et d'équité, que d'autres femmes, comme Christine Boutin ou Frigide Barjot se fassent insulter laisse sa conscience sectaire de marbre.
Elle emploie pourtant les éléments de langage recommandés par l'Elysée
"Il y a un message d'exclusion. Je l'entends [??], assure l'autiste. (...) Mais il est hors de question qu'un mot ou une attitude déterminent ma vie ou mon comportement", se loue Cricri-la-nombriliste.
La réalité n'est pas aussi caricaturale.
La presse rend compte à sa façon: "Pas moins de sept cars de police, une quinzaine d'estafettes de CRS et des agents en civil à chaque croisement ont bunkerisé hier le chic quartier de la Muette, dans le XVIe arrondissement de Paris. La raison? Empêcher les opposants au mariage gay de polluer le discours de François Hollande à l'OCDE."

Taubira agit dans l'urgence

Après avoir consacré une  année au lobby gay et lesbien,  mais
houspillée par les événements pénitentiaires, elle est appelée à se consacrer à l'urgence  de la situation dans les prisons françaises. Alors, elle clame qu'elle a décidé (!) de se dédier à l'élargissement des détenus.

Mais, en plus de cette prise de risque pour les autres, elle fait le procès des Français, se fixant pour objectif de   faire comprendre aux Français que "la justice n'est pas la vengeance".
Taubira n'a pas une haute idée de son "patron", mais est-ce une raison pour maltraiter ses esclaves (fiscaux) hexagonaux et Blancs ? 
 
Sa prochaine mission d'éveil des consciences pourrait être l'indépendance de la Guyane...

 


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):