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mardi 10 septembre 2013

Syrie: le frère d'Obama pose un problème de conflit d'intérêts politiques

Le demi-frère d’Obama est-il un dirigeant des Frères Musulmans?

Le temps va venir où toutes les conspirations contre l’Egypte seront mises au jour

Par son choix de soutien sans critique 
des Frères musulmans depuis le départ, 
le président américain s’est aliéné 
la fraction de la population égyptienne
hostile au président Morsi  
La vice-présidente de la Cour Suprême Constitutionnelle d’Egypte, Tahani al-Gebali, a fait cette révélation sur Bitna al-Kibir, dans une émission TV en direct.
Ces conspirations expliquent pourquoi l’administration Obama s’est portée avec une telle détermination au côté la Confrérie islamique malgré son terrorisme qui, entre autres atrocités, a provoqué la destruction de quelque 80 églises chrétiennes en moins d’une semaine.

Cette membre de la Cour Suprême a fait référence à des "documents et preuves"  que les agences de renseignements égyptiennes possèdent et au fait que "le temps de leur révélation au grand jour approche". Au cours de la discussion sur le fait que ces documents contiennent des extraits d’échanges financiers massifs entre des instances internationales et les Frères Musulmans, elle a dit : "Le frère d’Obama est l’un des architectes des investissements pour le compte de l’organisation internationale des Frères Musulmans."

Embarrassé, l'animateur l’interrompit alors pour lui demander de répéter ce qu’elle venait de dire, ce qu’elle fit, en toute confiance, ajoutant: "Si cela s’avère nécessaire, il faudra tenir le peuple informé". Faisait-elle allusion à l’appui d’Obama en faveur des Frères Musulmans contre l’état égyptien, avec pour conséquence le fait que les responsables égyptiens ont fait le pari de vendre la mèche à propos de la véritable nature des relations entre les Etats-Unis, la Confrérie et l’Egypte.

Malik Obama dirige une organisation caritative africaine à but non-lucratif  liée de près à la Confrérie 
Elle ne nomme certes pas ce frère du président, mais l'activité d'Obong'o Malik Obama a déjà été signalée et aussi son soutien à Omar el-Bashir, chef militaire du Soudan voisin et terroriste poursuivi pour génocide juillet 2008 par le procureur de la Cour pénale internationale (CPI).
Depuis que la CPI a émis le mandat, El-Béchir a visité  -sans être arrêté- les pays qui arment la Syrie, notamment le Qatar et la Chine en juin 2011, mais aussi le Tchad, dont le mari de Marisol Touraine, le diplomate ami du Mali, Michel Reveyrand de Menthon,  et le Kenya où oeuvre Malik Obama

Barack Hussein Obama, agnostique sympathisant de la cause islamique

La personnalité de ce président métis est ambigue. 
Issu d'un premier mariage de son père kényan avec une britannique blanche, ensuite exilée en ...Indonésie, où il passera deux années dans une école musulmane, le sénateur de Chicago semble avoir clos dans la douleur une jeunesse troublée de crises identitaires, mais épouse une femme noire et se trouve à la tête d'une tribu de frères et soeurs issus d'un second mariage de son père. C'est ainsi que son demi-frère Obong'o Malik est polygame et possède douze femmes.

Leur grand-père commun aurait été frappé par des Britanniques et ils auraient gardé
de la rancoeur envers les occidentaux.

Alors que le pasteur Jeremiah Wright avait laissé entendre que Barack Obama partageait secrètement ses opinions, le candidat nia adhérer aux thèses de son directeur de conscience afro-américain qui l’a marié et a baptisé ses deux filles à Chicago et qui assurait que  les États-Unis auraient provoqué les attentats du 11 septembre par leur politique étrangère "terroriste" et que le gouvernement serait capable de tout, y compris d'avoir créé le sida pour exterminer les populations de couleur.
En mars 2008, alors que les chaînes de télévision diffusaient en boucle des sermons où l'on voyait notamment le pasteur de Chicago lancer en 2003 "Que Dieu maudisse l'Amérique !" en raison du racisme aux États-Unis, Barack Obama avait timidement pris ses distances expliquant qu'il ne pouvait pas plus renier Jeremiah Wright qu'il ne pouvait renier la communauté noire. 

Dix jours avant de recevoir le prix Nobel 2009,
le président démocrate américain décida, avec l'accord du Sénat, l'envoi de 30.000 soldats américains pour poursuivre la guerre d'Afghanistan de 2001. Cela déclencha une forte controverse obligeant le "président de guerre", surnom qu'il revendique, à aller chercher son prix Nobel en catimini. Seuls 19 % des Américains pensent que leur président méritait le prix Nobel de la Paix. Et il se dit à nouveau déterminé à reprendre le sentier de la guerre en Syrie, aux côtés des rebelles islamistes.

Outre cette fréquentation sulfureuse, Obama aurait favorisé son frère
Barack Hussein Obama a-t-il fait exempter 
de charges fiscales 
l'oeuvre de charité islamiste de son frère?

Cette exonération d'impôts en faveur de l'oeuvre islamiste de charité fut approuvée  par Lois Lerner du bureau de l'IRS à Cincinnati
La chasse aux sorcières de l'IRS vise aussi bien les membres du Tea Party, les catholiques, les juifs, les groupes pro-vie, que d'autres à gauche, telle que la Fondation Barack H. Obama, en 2011. 
Cette oeuvre douteuse qui bénéficia du traitement de faveur de l'IRS est gérée par le demi-frère d'Obama, Abon'go "Roy" Malik Obama, citoyen Kenyan aux douze femmes, qui recueille des fonds illégalement aux États-Unis, jusqu'à preuve du contraire, car cette oeuvre de bienfaisance n'existe à aucune des adresses indiquées à l'IRS...

Par trois fois en juin 2009, l
e président noir a pris la défense du voile islamique dans son discours prononcé à l'université du Cairecritiquant le fait qu'un pays occidental "dicte les vêtements" qu'une musulmane "doit porter". "Je rejette les vues de certains en Occident" pour qui "le fait qu'une femme choisisse de couvrir ses cheveux a quelque chose d'inégalitaire". Le président Obama a encore souligné que le gouvernement américain s'était porté en justice pour protéger le droit des femmes et des filles à porter le voile et "punir ceux qui voudraient leur dénier". Une Américaine musulmane portant le voile, Dalia Mogahed, d'origine égyptienne, a fait son entrée comme conseillère du président à la Maison-Blanche, une première. Un signal fort, alors que plusieurs pays arabes sont eux aussi confrontés à ce débat rendu houleux par la poussée du fondamentalisme et que le port du voile est obligatoire dans certains pays musulmans, comme en Iran ou en ...Arabie saoudite, fournisseurs d'armes aux rebelles islamistes de Syrie.

Maintenant, libre à chacun de penser que Obama et Hollande n'ont d'autre préoccupation que la laïcité et liberté des peuples.


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