POUR

LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

Free speech offers latitude but not necessarily license

mercredi 23 octobre 2013

Mystérieuse fillette blonde chez les Rom

Les caractéristiques ethniques existent donc et interpellent

La découverte d'une fillette blonde aux yeux verts dans un camp de Rom
à Farsala (Grèce), le 16 octobre, mobilise Interpol

Les contrôles ADN 
La célèbre organisation internationale de police recherche des proches de Maria. "Ce que les autorités grecques ont demandé à Interpol, c'est d'utiliser nos recherches sur l'ADN de sorte que, si quelqu'un dit "je suis le frère, le père, la mère ou la soeur", la police, où que ce soit dans le monde, puisse déterminer le profil ADN de cette personne et l'envoyer à Interpol", a indiqué Ronald Roble, secrétaire général de l'organisation de coopération policière, en marge de son Assemblée générale à Carthagène (Colombie).
"La première chose que nous ayons faite a été de prendre le profil ADN que nous avons reçu des autorités grecques afin de le comparer à nos bases de données, et il n'y a eu aucune coïncidence", a souligné le responsable.

Cette recherche s'effectue notamment à partir de ce profil de la fillette, âgée de 4 ou 5 ans, qui a été communiqué, via une notice jaune, à tous les pays membres d'Interpol. Ronald Roble a précisé que l'organisme envoyait un «message aux pays membres» pour qu'ils effectuer les comparaisons éventuelles sur le profil ADN.

Interpol, dont le siège est situé à Lyon (France), avait annoncé auparavant que les autorités grecques avaient demandé l'aide de l'organisation et que celle-ci mettrait son portail ADN à la disposition de tout pays membre dont un ressortissant revendiquerait une parenté avec la fillette inconnue.

Il en allait différemment dans le cadre de l'affaire de Tarnac quand la police avait recueilli l'ADN de Charles Torrès, 28 ans, à son insu, et avait lancé une procédure contre le jeune homme gardé à vue pour... refus de prélèvement génétique. Il ne s'agissait certes pas de mineur en situation de faiblesse, voire d'exploitation, mais de l'un des suspects dans l'affaire des sabotages de caténaires de la SNCF attribués au groupe de Tarnac en 2008. Alors l'extrême gauche avait mobilisé les media avant le jugement de Torrès qui fut relaxé de son refus de se soumettre à des tests ADN en mars 2012 .

Un déluge d'appels depuis la diffusion de la photo de l'"ange blond"

Certains slogans ne manquent pas d'audace !
A ce jour, la véritable origine de cette fillette reste mystérieuse. Les cheveux et la peau très clairs, les yeux verts, l'enfant apparaît sur certains clichés diffusés par la police vêtue d'un jogging froissé, fines nattes dans une coiffure désordonnée. Sur une autre photo, chevelure peignée, elle esquisse un sourire grave.

Depuis la diffusion de la photo et d'une vidéo,
l'émotion est vive en Grèce et à l'étranger.  L'association "Le sourire de l'enfant" a reçu un déluge d'appels et de messages, inexploitables pour l'instant. Des parents grecs d'enfants disparus ont aussi apporté aux autorités des résultats de tests ADN pour les comparer à ceux de l'enfant, selon la presse locale. L'agence Ana cite le cas d'un couple qui a perdu un enfant à la naissance, en 2009, mais dont le corps ne leur a pas été remis. 

La Rom blonde parle "la langue des Rom" et comprend le grec,
a précisé Panagiotis Pardalis, responsable de l'association "Le sourire de l'enfant". Au sein de sa famille rom, elle s'appelait "Maria". La fillette a été découverte lors d'un contrôle de routine de la police dans un camp rom de la ville. L'enfant vivait avec un couple qui s'est avéré, après des examens ADN, sans aucun lien de parenté avec elle. Il s'agit d'un homme de 39 ans et d'une femme de 40 ans. 

VOIR et ENTENDRE
un reportage sur ce couple rom inculpé pour l'enlèvement de la fillette:
La justice grecque a inculpé lundi et placé en détention un couple de Rom pour "enlèvement" et "constitution de faux papiers". Voilà qui fait les affaires de quelques-uns qui ne se situent pas sur l'échiquier politique là où leurs militants et sympathisants les attendaient.

Et le pouvoir français ne manque pas d'exploiter cette action de la justice qui entretient pourtant le mythe du Rom voleur d'enfant.
Deux raisons à cet engouement médiatique hexagonal. Hollande doit, d'une part, salir la communauté entière soupçonnée de vol d'enfant(s) pour, d'autre part, se réhabiliter ainsi en dissipant l'ignominie de sa proposition de séparer de ses parents clandestins la collégienne Rom récalcitrante que Valls a expulsée au Kosovo. 
La manoeuvre ne surprend pas l'observateur des turpitudes socialistes. Ce qui interpelle en revanche, c'est le soudain silence des réseaux associatifs bien pensant que relaient habituellement les juges de la presse "décrypteuse." Ne leur apparaît-il pas étrange que le groupement d'intérêt public lié à la protection de l'enfance en France, le GIP Enfance en danger ou GIPED, soit justement aux abonnés absents ? Couac aussi de la solidarité internationaliste sur le droit des enfants... 

Le socialiste DSK chez les riches ou chez les Serbes, ça ne choque pas tant que qu'une blondinette triste chez les Rom 
Pendant qu'il y est avec Leonarda, Hollande et Taubira pourrait offrir à Maria l'accueil d'une famille LGBT bien sous tous rapports.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):