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jeudi 22 mai 2014

Festival de Cannes: on peut regretter le temps des starlettes

C'est trop classe: il tente de regarder sous la robe d'America Ferrera
Des agents de sécurité (et Laurent Weil avec un casque de viking) empoignent sans ménagement Vitalii Sediuk. 
Des agents de sécurité empoignent sans ménagement le voyeur tactile
A chaque jour son buzz: un intermittent du spectacle a-t-il fait le "chaud"?

Vitalii Sediuk, un journaliste ukrainien de 26 ans, est parvenu à déjouer la sécurité du festival pour palper quelques secondes les chevilles de la star américaine America Ferrera, durant la montée des marches de Dragon 2. 

C'est qui çui-là encore ? 
Vitalii Sediuk, un journaliste ukrainien (bac+5 ?) dont la spécialité est de toucher les stars. Au tableau de chasse du jeune homme, Will Smith, Madonna, la chanteuse Adèle et Leonardo DiCaprio. L'indifférenciation des sexes c'est son truc !

La victime ne perd pas le nord et opère une palpation qui n'émeut personne, pas même le vaillant balèze à droite...

Et c'était quand ? 
Vendredi 16 mai 2014, à Cannes, durant la montée des marches du film "Dragon 2" avec America Ferrera et Kate Blanshett qui a échappé à la palpation. Allez savoir pourquoi.
Photo-reporters de guerre, la troupe de journalistes immortalisent la scène, abandonnant  la star à son sort.

Laurent Weil de Canal+, en casque de viking, regarde bras ballants 

Le grand benêt de Canal+ laisse faire...

Le contexte 

Au marché du cinéma de Cannes, il n'est pas difficile d'être accrédité. 
En revanche, si vous n'avez pas la bonne accréditation, passez votre chemin. Selon toutes vraisemblances, Vitalii n'était pas accrédité pour le tapis rouge. Aussi, il a déjoué la sécurité et s'est rué sur les acteurs ciblant la robe d'America Ferrera. Il s'est couché au sol et a glissé les mains quelques secondes sous la robe longue de l'actrice,

avant que des agents de sécurité ne l'évacuent sans ménagement. 
Il a été entendu par la police après avoir  fait "le buzz" pour Canal+.

La victime est la vedette hondurienne de "Ugly Betty", endimanchée ce jour-là. Comme quoi tout le monde a une chance de retenir l'attention au festival de Cannes. Il faut se faire une raison, en 2014 le temps des starlettes est révolu: 
on préfère les pervers.
Exemple le film d'Abel Ferrara inspiré de l'affaire DSK.

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