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mardi 7 juillet 2015

La Grèce met la France à l'arrêt: Hollande et Valls monopolisés

Qu'ils mettent leur énergie à éviter à la France le sort de la Grèce

Submergés par leur dette publique, Hollande et Valls se consacrent pourtant à temps plein à la Grèce

Mr Spock à RTL, en soutien
à l'extrême gauche grecque,
pour ménager le Front de gauche
 
François Hollande a appelé les Français surfiscalisés à la solidarité lundi soir, comme si était roses leurs vies de chômeurs ou de contributeurs au Revenu de solidarité active (RSA) ou à la CMU, couverture maladie universelle qui ouvre l'assurance maladie à tous les résidents en France, y compris clandestins. L'air important, mais platement et inutilement, Pépère a commenté la situation, observant qu’il y a "urgence pour l’Europe, urgence pour la Grèce". Bien vu ! On sent que la zone euro attend après lui, lui et ses fulgurances...

La France s'oppose à une sortie de la Grèce de la zone euro, a expliqué Manuel Valls, le 3 juillet sur "RTL". Ainsi, c’est maintenant au tour du Premier ministre de réaffirmer que "la France fera tout pour que la Grèce reste dans la zone euro". Valls, comme Hollande, reste dans les "il faut", "on doit": et le "comment"?
Gravement, le Premier ministre prononce des évidences: "Tsipras doit prendre ses responsabilités aujourd’hui à l’Eurogroupe et engager la Grèce sur la voie des réformes"
Mais, Catalan ou Normand, on ne sait plus, Manuel Valls déclare aussi bien qu'  " il n’y pas de sujet tabou sur la dette et le rééchelonnement, sur le fait qu’on reprofile, qu’on retravaille sur la dette (...) Les bases d’un accord existent (...)", a-t-il encore assuré, perspicace, sur RTLSourcils froncés, Valls fait notablement avancer le schmilblick...

Un Grexit fait trembler le pouvoir socialiste


Valls grimace
en prenant connaissance de ses fiches
Le coup passerait si près qu'il ferait tomber Hollande. L'exclusion de la Grèce serait un redoutable précédent: la France est le prochain pays sur la liste. Lire Ivan Rioufol.
"La zone euro doit rester cohérente et fiable (...)", affirme Valls. "La France est convaincue que nous ne pouvons pas prendre le risque d’une sortie de la Grèce de la zone euro (...) C’est un risque pour la croissance et l’économie mondiales et un risque politique", a insisté Valls, avant d’ajouter qu’un débat aura lieu à l’Assemblée nationale mercredi. Un débat sans vote: de la parlotte. 
Après consultation du président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, et mépris de celui du Sénat (UMP), "nous proposons qu'il puisse y avoir - c'est à l'Assemblée nationale de l'organiser - un débat, si possible dès demain, avec l'ensemble des parlementaires, après le Conseil européen (de mardi soir), pour faire un point sur la situation." 
Après deux recours à l'article 49.3, qui ont montré en quelle estime il tient les élus de la nation, Manuel Valls - lequel, comme Ayrault, a toujours refusé de recourir au référendum - assure cyniquement que "le gouvernement est prêt pour un débat avec les députés".

Grèce : "Les bases d'un accord existent... par rtl-fr

L'Assemblée nationale est devenue une chambre d'enregistrement des desiderata de l'exécutif. 
"Aujourd’hui, il n’y a pas besoin d’avoir un vote. Un vote sur quoi ? Non", a tranché le démocrate Manuel Valls, républicain modèle en Socialie et fin connaisseur de la dictature des généraux grecs.

On sait pourquoi Valls cache sa main gauche
Ce débat portera " sur la situation du moment, sur la position bien sûr de la France. Parce que je crois que, dans ce moment-là, il faut informer les parlementaires et à travers eux (...) les Français. Il faut faire preuve de responsabilité et aussi d’unité et de rassemblement", a-t-il encore indiqué. Bla, bla, bla...

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