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dimanche 16 août 2015

Attaque d'un site du ministère de l'Intérieur à Pantin, Seine-Saint-Denis

Un policier blessé lors de l'attaque à Pantin, 2 personnes en fuite

Deux hommes actuellement en fuite blessé un gardien de la paix dimanche dans un bâtiment du ministère de l'Intérieur à Pantin
 

(Seine Saint Denis), a indiqué le ministère.

Le gardien de la paix a été blessé par balles par deux hommes cagoulés, peu avant 02h00, alors qu'il effectuait sa ronde. Les inconnus, qui s'étaient introduit sur le site proche de Paris, lui ont dérobé son arme, a précisé le porte-parole du ministère, Pierre-Henry Brandet, un ex-journaliste de France Télévisions, qui présentait l'émission Tout le sport sur France 3 depuis 1992.

Le Raid a été "rapidement déployé" (!) sans pourtant retrouver les hommes qui sont en fuitePeu après 09h00, ia terminé ses recherches sur le site, abritant notamment un garage de véhicules de l'Intérieur, a-t-il ajouté. "Les deux individus sont en fuite. Les premiers éléments découverts par les enquêteurs laissent penser qu'il s'agirait d'un cambriolage qui a mal tourné", a estimé le porte-parole. A son arrivée au ministère de l'Intérieur, l'ex-journaliste avait été fait officier volontaire de sapeurs-pompiers et officier de réserve de la Gendarmerie nationale. Il sera bientôt nommé "préfet hors cadre" ?

Un vaste périmètre de sécurité avait été bloqué dans la zone industrielle de Pantin

Ce site du ministère de l'Intérieur abrite  aussi des bureaux de formation et l'école de conduite de la police nationale.

Le Raid a pu retrouver sur place l'arme dérobée au policier, mais a laissé échapper les deux hommes, avant son arrivée "immédiate".

Le policier, "très légèrement atteint" malgré le port de son gilet pare-balles, a été conduit à l'hôpital d'où il n'était pas encore ressorti au moment de la communication du porte-parole de Bernard Cazeneuve.

Des sites gouvernementaux particulièrement visés de puis quelques semaines
A Miramas (Bouches-du-Rhône), une enquête est en cours, suite au vol d'un important stock de munitions au dépôt de munitions de l'État major des armées, "avec effraction, commis en bande organisée". Des militaires ont découvert, lundi 6 juillet dans l'après-midi, deux grillages de protection du site méthodiquement découpés. La piste d'un vol étant très rapidement évoquée, un inventaire a été fait en urgence.
Au total, 176 détonateurs (électroniques et pyrotechniques) ont été volés, ainsi que dix pains de plastic de 250 grammes chacun, 66 bouchons-allumeurs de grenades et 40 "corps de grenades", qui correspondent à la partie explosive de la grenade. 

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