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mercredi 30 septembre 2015

L‘Eglise de France s'engage contre la campagne gouvernementale sur l'IVG

Le droit de vie et de mort sur le vivant indigne les croyants

Le slogan de la campagne "IVG : mon corps, mon choix, mon droit" ne prend pas en compte la personne humaine sacrifiée
 
Marisol, femme sandwich
La Conférence des évêques de France dénonce "l'approche individualiste du drame de l'avortement",  pour ne pas dire matérialiste et démagogue.
Dans un communiqué signé par Monseigneur Ribadeau Dumas, la Conférence des évêques de France (CEF) laisse peu de place en s'engageant contre la campagne de relance des IVG lancée par la ministre de la Santé Marisol Touraine. "La Conférence des évêques de France (CEF) tient à rappeler son opposition à l'interruption volontaire de grossesse" écrit son porte-parole.

Lancée lundi, cette campagne en faveur du droit à  l'IVG pour tous vise à convaincre du "droit fondamental" à l'avortement. Le gouvernement crée un numéro vert gratuit et anonyme pour informer les femmes sur le recours à l'IVG. La ministre de la Santé s'est faite tatouer un tatouage éphémère pour appuyer son soutien à cette campagne.

La politique-spectacle et 
l'avortement-spectacle sont
les deux mamelles de Touraine
La CEF veut rappeler "l'impérieuse nécessité de ne pas considérer l'avortement comme une anecdote de la vie mais comme un acte grave qui engage et marque bien souvent profondément et durablement les personnes qui le vivent: les femmes mais aussi les hommes et les familles."

La CEF attire aussi l'attention sur ce qu'elle estime comme "des mesures inquiétantes" prises par le gouvernement, parmi lesquelles "l'assouplissement de la délivrance de la contraception d'urgence aux élèves mineures, l'intégration du nombre d'IVG dans les contrats d'objectifs des ARS, l'autorisation pour les centres de santé à pratiquer des IVG, la fin du délai obligatoire".

Un "matraquage idéologique insupportable"

Les évêques citent le pape François dans son encyclique Laudato Si qui écrit: "Puisque tout est lié, la défense de la nature n'est pas compatible non plus avec la justification de l'avortement." (paragraphe 120).

L'Eglise de France prend position contre l'avortement à chaque offensive. La CEF avait déjà protesté vigoureusement en avril dernier contre la "banalisation" de l'avortement qu'impliquait selon elle la loi Santé de Marisol Touraine. La CEF avait notamment souligné que la suppression du délai de réflexion avant une IVG renforce "une conception réduite de la dignité humaine faisant de l'enfant à naître un simple objet dont on doit disposer librement et retirant à la femme enceinte les moyens d'exercice de sa réelle liberté de conscience".

Un viol d'Etat des consciences

La prochaine fois, une ministre
 exhibera son foetus ?
L'abbé Grosjean, prêtre du diocèse de Versailles, fait état d' "une vraie colère dans l'Eglise contre ces contre-vérités assumées par le gouvernement. Le gouvernement prétend informer les femmes, mais passe sous silence la question de la vie de l'enfant, celle de la souffrance de beaucoup de femmes qui ont vécu une IVG, la possibilité d'aides pour celles qui veulent garder leur enfant.

Et le prêtre de dénoncer "un matraquage idéologique insupportable qui vise à neutraliser tout débat et imposer pour évident ce qui ne l'est pas".

L'Eglise catholique reste fermement opposée à l'avortement qui n'est pas de force majeure. Dans le catéchisme catholique publié par Jean-Paul II en 1992, il est précisé que "l'avortement direct, c'est-à-dire voulu comme une fin ou comme un moyen, est une 'pratique infâme' gravement contraire à la loi morale."

Le pape François a autorisé les prêtres à pardonner l'avortement à l'occasion de l'année jubilaire. Dans une lettre rendue publique le 1er septembre, le souverain pontife écrit avoir "décidé, nonobstant toute chose contraire, d'accorder à tous les prêtres, pour l'année jubilaire, la faculté d'absoudre du péché d'avortement tous ceux qui l'ont provoqué, et qui, le cœur repenti, en demandent pardon".
La "théologie de la réconciliation" est-t-elle progrès ou régression ? J'te pardonne, parce que j'suis sympa, et vas-en paix, si tu peux...

EELV se vide: la députée Barbara Pompili n'encadre plus le parti écologiste

Pompili claque la porte derrière son mari 

Deux autres cadres du parti, François de Rugy et Jean-Vincent Placé, ont déjà quitté Europe Ecologie-Les Verts 
EELV  enregistre une nouvelle perte avec le départ de sa co-présidente du groupe écologiste à l'AssembléeMercredi 30 septembre, dans un entretien publié sur le site internet du Monde, Barbara Pompili a annoncé qu'elle quitte le parti écologiste.

La députée de la Somme dénonce "une stratégie de division de la gauche" qui "risque de nous orienter vers une victoire du Front national" après le choix des écologistes de ne pas faire alliance avec les socialistes pour les élections régionales en Nord-Pas-de-Calais/Picardie. Elle a précisé qu'elle ne soutient pas S. Rousseau.

Or, Barbara Pompili est la compagne de Christophe Porquier, vice-président du conseil régional de Picardie membre d'EELV
La démission de B. Pompili est clairement liée à
la stratégie radicale de la direction d'EELV, notamment incarnée par Cécile Duflot et Emmanuelle Cosse, pour les régionales dans le Nord. Mais c'est l'avenir de son compagnon Christophe Porquier, qui est en jeu, puisqu'il est vice-président de la région... Picardie.
Sa décision aura tardé, mais elle était donc attendueLa vice-présidente du groupe Europe Ecologie-Les Verts à l’Assemblée suit ainsi son compagnon, après son "binôme" au Palais Bourbon, François de Rugy, ainsi que leur homologue au Sénat Jean-Vincent Placé, démissionnaires à la fin août à cause de la stratégie d’EELV pour les élections régionales. 

L’élue de la Somme s’est notamment indignée du choix des militants de sa région, le Nord-Pas-de-Calais, Picardie qui l'a élue: ils ont préféré s’allier avec le Front de GauchePour faire face au scrutin de décembre à Marine Le Pen (FN) qui est bien partie pour l’emporter, les militants de la Grande Région Nord ont fait davantage confiance à l'extrême gauche qu’au PS. Barbara Pompili est particulièrement sensible au sort électoral de son territoire. 
Au-delà des considérations politiques, elle est aussi la compagne de Christophe Porquier, vice-président de la région Picardie, dans une majorité de pastèques, vertes dehors, mais rouges dedans. Il y a une quinzaine de jours, la démission de Christophe Porquier était liée à sa désertion de la liste EELV emmenée par Sandrine Rousseau dans le Nord. Il était pourtant colistier et désormais ex-chef de file de la liste écolo dans la Somme. Comme le trio Placé-Rugy-Pompili, il avait alors critiqué la "logique protestataire, stérile" de son parti en général et de la liste en particulier. Présenté comme un des "pionniers de l’écologie politique en Picardie" par la Voix du Nord, celui qui a structuré EELV dans la Somme et à Amiens n’a pas supporté, lui non plus, le choix des militants nordistes de partir avec Mélenchon et consorts : il refuse de "jouer à la roulette russe avec les scores du premier tour, en tapant sur l’allié d’hier" comme il le dit dans le Courrier Picard.
Aujourd’hui,
Monsieur Pompili semble se diriger directement vers les listes du socialiste Pierre de Saintignon. Ce que n’a pas manqué de relever Sandrine Rousseau qui estime que son ex-colistier est mû par "le souhait d’être réélu".

Christophe Rossignol, membre du conseil fédéral d'EELV, a annoncé sa démission du parti.
 
Dans une lettre, il explique que "partir, c'est un déchirement mais aussi un devoir". "La lente agonie d'EELV s'est accélérée avec le départ du gouvernement. (...) Et aujourd'hui en Nord-Pas de Calais-Picardie, demain sans doute en PACA, deux régions où le FN peut gagner, quelques dizaines d'adhérents ont décidé de mettre en place une stratégie mortifère de désunion qui risque pour des millions de personnes de se transformer en tragédie", ajoute ce conseiller régional dans le Centre, proche de Jean-Vincent Placé.

Le PS pourrait tirer les marrons du feu écologiste

Pompili n'a pas précisé si elle rejoint  le nouveau parti créé par Rugy et Placé
.
Nous saurons avant Noël si elle entre dans le jeu de chaises musicales de l'après-Régionales. Ségolène Royal pourrait en effet quitter son ministère de l'Environnement où elle fait du sur-place dans le Nutella, à force de provocations et de reculades. 

Cambadélis rejette Macron à la marge du PS

Macron est-il un hérétique à conduire au bûcher?

Le Parti socialiste "ne polémique pas avec un ministre d'ouverture"

Macron est ainsi devenu le Bachar al-Assad du gouvernement Valls...
A la tête du Parti socialiste, l'ex-trotskiste a trouvé le moyen de donner libre cours à sa violence naturelle. Jean-Christophe Cambadélis est devenu premier secrétaire du PS, mais est resté 'Kostas'. Rares sont ceux qui avaient pris  la juste mesure de sa brutalité rentrée quand, en plein hémicycle de l'Assemblée nationale, il avait menacé du poing Dominique de Villepin, alors Premier ministre (photo ci-contre), libérant sa haine anti-républicaine.      

C'est une habitude socialiste, à en croire la gifle de rappel à l'ordre que Manuel Valls (ci-contre à droite) appliqua à un "frondeur" qui contesta sa politique lors de l'université d'été du PS au début du mois. 

Les dernières déclarations du ministre de l'Economie, Emmanuel Macron, ont déclenché une cabale. "C'est un ministre d'ouverture et le Parti socialiste ne polémique pas avec un ministre d'ouverture, a-t-il lâché, avec mépris. Ce qu'il dit ne nous engage pas et ce que nous pensons ne l'engage pas. On en restera là". Telle est la sentence de Cambadélis lors d'une conférence de presse. 

Macron,  paria du PS

Le patron de Solférino fait référence - injure suprême - aux ministres d'ouverture recrutés par Nicolas Sarkozy lors de son accession à l'Elysée en 2007. Des socialistes ou radicaux avaient déjà été bannis du parti vertueux de la tolérance et des libertés: Bernard Kouchner, Eric Besson, Jean-Pierre Jouyet et Martin Hirsch, classés à gauche, avaient ainsi participé au gouvernement Fillon I. Deux d'entre eux servent à nouveau le président Hollande, l'un à l'Elysée et l'autre à la direction générale de l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris où il a décidé de réduire le nombre des hôpitaux, en sorte que Hollande puisse offrir 100 millions d'euros aux 'réfugiés' et au Programme d’aide alimentaire...

En clair, pour Cambadélis, Macron n'est donc pas de gauche. 
Un huissier doit contenir 'Kostas'
Lors du Monde Festival du dimanche 27 septembre 2015, l'hérétique du ministère de l'Economie s'est approprié le libéralisme comme "valeur de gauche", une réquisition jugée iconoclaste. "Il faut rénover la pensée profonde de la gauche, a martelé l'ancien banquier. J’ai rarement vu des gens aller au bout du bovarysme parlementaire", dénonçant l’inaction de ceux qui ne vont pas au bout de leurs souhaits de réforme. "… J’assume qu’il y ait un libéralisme. Le libéralisme est une valeur de gauche." Poussé à prouver qu’il ne s’est pas trompé de famille politique, le ministre s'est appliqué à convaincre les sceptiques de sa lutte contre les inégalités. Et de prendre en exemple l’ouverture des lignes d’autocars au transport des passagers : "On a rouvert de la mobilité, c’est une lutte contre l’inégalité." Manquent simplement les gares routières capables de les accueillir...

Macron a également estimé qu' être élu est "un cursus d'un ancien temps". Sur ce dernier point, il a été recadré par Manuel Valls. Le Premier ministre lui a rétorqué que l'expérience du terrain d'un élu est "irremplaçable". Dans un entretien avec le site internet MY-TF1, vendrediCambadélis avait déjà clamé que la formule de Martine Aubry - son " 'ras-le-bol' de Macron" (sic) - est partagé, y compris dans l'exécutif". 

Le calendrier et la question du référendum posés 

Et on vote bien: j'vous ai à l'oeil !
"Face à la droite et l'extrême droite, souhaitez-vous l'unité de la gauche et des écologistes aux élections régionales ?"  Telle est la question que le Parti socialiste (PS) posera les 16, 17 et 18 octobre. Problème de flou : le retrait de la précision "avant le premier tour", fait polémique. La mention qui faisait auparavant partie de l'interrogation a en effet été escamotée tant l'enjeu est grand pour Europe Ecologie-les Verts, les communistes et le Parti de gauche. 

Impuissant à rassembler la gauche pour les régionales, Kostas détourne l'attention
Le PS semble s'accommoder de la menace du  Front national donné premier par les sondages dans plusieurs régions. Depuis Mitterrand, le FN fait en effet florès sous la gauche. Jean-Christophe Cambadélis amuse donc la galerie en lançant l'idée d'un référendum, espérant forcer la main des appareils des partis. Il en a précisé les dates et la question hier mardi. Toute personne qui accepte de laisser son nom, son prénom et son adresse de courriel, pourra voter "oui" ou " non" par internet du vendredi 16 octobre au dimanche 18 octobre à 20 heures. Les votes physiques auront également lieu du 16 au 18, jusqu'à 18 heures. Un point de presse sera organisé dès le dimanche soir pour communiquer les résultats, qui seront -ou non- validés "dans les jours qui suivent" par la Haute autorité du PS.

En tenant ces propos,
Macron prépare-t-il son retour dans la fonction publique - devant un think tank, Emmanuel Macron a estimé que le statut des fonctionnaires à vie n'est plus "adéquat" - ou à la banque ? Si la fonction de ministre est une rente, ce n'est pas un statut à vie... 

mardi 29 septembre 2015

Trierweiler ne se supportait-elle plus dans son miroir ?

'Merci pour ce moment' aurait donc payé les travaux...

En un moment, la photo de Valoche a mis la Toile en joie !
 
Tromperie sur la marchandise

Le nouveau look très hollywoodien de Valérie Trierweiler n'a pas manqué de déclencher l'hilarité des internautes qui ont réussi à la démasquer, méconnaissable, dans le magazine japonais "Richesse" (sic) ce mardi matin. La métamorphose est stupéfiante... Elle a l'âge d'être grand-mère, mais son visage en paraît 30.
Quinquagénaire depuis février, Valérie Trierweiler a mal accusé le coup des rides qui se creusent et des chaires qui s'affaissent. dernier l'usage du logiciel de retouche Photoshop étant peu discret. 

La concubine répudiée a rapidement réagi

Elle dit assumer totalement sa nouvelle apparence saluant le talent du coiffeur-maquilleur Guillaume Sergenti.
Pour annoncer la prouesse, le coiffeur a posté un message sur son compte twitter accompagné d’une photo, et du hashtag... #renaissance.

Mais la supercherie étant tellement grossière,
l'ex-concubine de Pépère dû consentir à reconnaître l'ampleur des travaux de retouches engagés par l'équipe japonaise, optant pour l'auto-dérision sur sa retouche démasquée. 
Le modèle, ci-dessus, et
la pâle copie, ci-dessous !
Ainsi Trierweiler ironisa-t-elle sur son propre compte Twitter : "Merci @GSergenti pour ton talent et oui photoshop de la part de l’équipe japonaise #j’ai50ansetjelesais !!!": 
Valoche à la remorque de Michelle Obama qui lança le hashtag #62MillionGirls, sur un sujet autrement moins nombriliste...

Puis, toujours dans l'auto-dérision, Valérie Trierweiler a posté une nouvelle photo d'elle sur son compte Twitter, en train de danser sur le Champ de Mars à Paris.

La vérité est tout autre au final
Reste le troisième pas à franchir, décisive, avouer que la société Photoshop l'a rétribuée pour réaliser ce tour de magie et faire le buzz ?... Avatar de sa répudiation, Valoche s'est livrée au bistouri
Sa séparation a été si violente - d'ailleurs marquée par un séjour en hôpital, du fait de la brutalité de la manière employée par le président Hollande -, que la ménagère de plus de 50 ans a subi de profonds dommages collatéraux.

La chirurgie esthétique a fait son oeuvre. Son maquilleur n'hésite pas à parler de 'renaissance'.  Une volonté de reconquête et de damer le pion de Julie Gayet, 43 ans? 
"Hé les amis, j'ai 50 ans mais je suis en forme ! Attention photo réalisée sans trucage et sans Photoshop," a ajouté la vaniteuse, en guise de commentaire. Impayable cette Valérie: elle confirme l'intervention du chirurgien !  

Maintenant, si France 2 envisage de remplacer le p'tit Pujadas par la rafistolée, pitié !

 

Villeneuve-Saint-Georges: un lycéen sauvagement frappé par une bande d'une dizaine de jeunes

Villeneuve-Saint-Georges, ville à haut risque?

Le lycéen a été plongé dans le coma, suite à son tabassage


La maire est à la gauche de Mélenchon
Une dizaine de jeunes barbares en bande l'ont sauvagement frappé, notamment avec des manches de pelle et cutters.  
Lundi 28 septembre à 13 heuresle jeune homme était visiblement attendu par ses agresseurs à la sortie du lycée François-Arago de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne). Ce jeune en dernière année de CAP a été très "violemment frappé" (sic) à "coups de poing, coups de pied, coups de cutter au visage, coups de pelle, coup de manche de pioche ou de bois divers", rapporte le secrétaire régional du syndicat Alliance Police.

L'adolescent a dû être plongé dans un coma artificiel. 
Connue des services de police, la victime se savait menacée. Selon des témoins du lynchage, elle portait une matraque télescopique et une serpette, sorte de couteau à lame recourbée utilisé en jardinage. Ce qui laisse penser que la victime avait subi des menaces de ces jeunes dont on "sait en tout cas qu'ils ne sont pas habitants de Villeneuve-Saint-Georges", écartant ainsi "les problématiques du lycée ou du quartier", insiste le directeur général des services de la ville cheminote aux mains du PCF, en la personne de Sylvie Altman. 
Cette maire est une ancienne collaboratrice du groupe communiste au Sénat: elle a travaillé pour Camille Vallin et Anicet Le Pors jusqu’en 1981 quand celui-ci est devenu ministre de la fonction publique. Elle fut alors casée dans l’administration du Conseil Général du Val-de-Marne, actuellement présidé par le communiste Christian Favier, un instituteur.

D'après les premiers éléments, les agresseurs seraient originaires du département voisin de l'Essonne. Le lycéen a été transporté à l’hôpital de Créteil dans un état très grave. Son pronostic vital étant engagé lundi, il a été placé en coma artificiel. Une enquête a été ouverte et confiée à la police judiciaire du Val-de-Marne. 

La ville est tristement connue pour son insécurité


Ainsi, à Villeneuve-Saint-Georges le 1er août dernier, un homme de 31 ans a déjà été blessé d’un coup de couteau dans la tête. Le trentenaire se trouvait  avec son colocataire dans leur appartement de l’avenue Carnot, lorsque trois hommes ont frappé à la porte et se sont mis à le frapper. Leur victime a été transportée à l’hôpital de Villeneuve-Saint-Georges où elle était toujours en observation le dimanche soir. L’homme assura les policiers qu’il ne connaissait pas ses agresseurs.

Ni cette grosse berline en flammes, ni la maison
n'est celle de la maire communiste.
Elle est pourtant utilisée par Le Point dans son article

La maison et la voiture de la maire Villeneuve-Saint-Georges visées par des cocktails Molotov

La voiture de fonction de Sylvie Altmana été incendiée dans la nuit du mardi 14 au mercredi 15 juillet 2015  aux cocktails Molotov et sa maison visée mais sans être endommagée. Deux cocktails, déposés sous le véhicule garé devant la maison de l’élue, enflammèrent très vite la Clio de la mairie, et un troisième, lancé sur la porte d’entrée, ne fit quasiment aucun dégât. Alors en congés, la maire PCF de Villeneuve-Saint-Georges s'était dite "très choquée", rappelant que sa maison avait déjà été l'objet d'un caillassage la veille et d'un cambriolage plusieurs semaines auparavant.

Quant aux agresseurs du lycéen, ils courent toujours également.


La ville qui hisse le drapeau algérien en façade de sa mairie

Le drapeau tricolore de la mairie de Villeneuve-Saint-Georges (ville communiste du Val-de-Marne) a été brûlé dans la nuit du 13 au 14 juin 2010 et remplacé par un drapeau algérien, a fait savoir la municipalité. La Slovénie avait terni le retour de l'Algérie en Coupe du monde de football en remportant (1-0) son premier match du groupe C. Le drapeau tricolore devait payer le prix de la défaite algérienne, expliqua-t-on ! De quoi en conclure que l'intégration bloque dans certaines communes ?
Dans le cadre d'une opération de jumelage, trois drapeaux - un français, un allemand et un anglais - avaient été hissés pendant le week-end sur des mâts, devant la mairie. Lien PaSiDupes
"C'est le drapeau français qui a été brûlé et remplacé par un drapeau algérien", a précisé un porte-parole de Sylvie Altman, maire PCF réélue en mars 2014 avec 30 voix d'avance. Dans cette commune qui apporte son soutien à la Palestine et aux pro-palestiniens, on assure que "rien ne laissait présager ce geste": le drapeau français immolé sur le perron de l'hôtel de ville.

Sylvie Altman glorifie la population qui l'a faite maire
"Villeneuve est riche de sa population, une population multicolore, interculturelle. Ici, comme ailleurs, les drapeaux des nations qui jouent au Mondial de football sont mis sur les maisons, les restaurants. Le climat peut être passionné, mais calme et serein", écrit-elle sereinement. Pas de quoi donc faire un plat des violences de Villeneuve-Saint-Georges !

La maire PCF de Villeneuve-Saint-Georges envisage-t-elle aussi sereinement d'accueillir des migrants syriens dans sa bonne ville?
En celà , elle imiterait le camarade Jean-François Voguet, maire (PCF) de Fontenay-sous-Bois, qui sans pour autant rejoindre le réseau de "villes solidaires" animé par Luc Carvounas (PS) a appelé à une mobilisation citoyenne et associative ?

lundi 28 septembre 2015

Isère, département criminogène: encore un mort par balles près de Grenoble

Taubira: plus ils sont de morts, moins les prisons sont encombrées ?

La victime était 
connue des services de police

L'homme était connu des services de police pour association de malfaiteurs et avait lui même été mis en cause dans des règlements de compte entre malfaiteurs. Son frère avait été tué lors d'un règlement de comptes en 2007, selon la même source. La police judiciaire était présente sur les lieux du crime lundi matin.

Agé de 29 ans, le repris de justice était en liberté quand il a été tué par balles lundi matin à Saint-Martin-d'Hères
Au printemps 2012, des jeunes d’un quartier 
de St-Martin d’Hères sont au centre d'une enquête 
sociologique sur leur... imaginaire 
commune communiste (depuis 1945) de 38.000 habitants, limitrophe de Grenoble, ville écolo où, depuis plusieurs mois, s'amoncellent les victimes de mort violente comme pesticide sur la salade. Cette riante agglomération de Grenoble possède deux mosquées, outre une grande mosquée en construction (ci-dessous), compte tenu de la forte communauté musulmane.
Le Dauphiné Libéré précise que la victime a été tuée en pleine rue, au volant de sa voiture, alors qu'elle se rendait vraisemblablement à sa salle de sports.
Les mosquées en France sont près de 3.000, un nombre croissant 
qui s’explique par une pratique de plus en plus élevée chez la jeune génération

Une ville agitée d'affrontements inter-communautaires

Le 11 septembre dernier à Saint-Martin-d’Hères, des Rom ont été délogés par des riverains hostiles. 
Des habitants d'un quartier de Saint-Martin-d'Hères ont forcé une famille rom à quitter, sous les cris et les insultes, la maison inoccupée qu'ils squattaient depuis trois jours. Cette famille avait été évacuée fin juillet du bidonville d'Esmonin, à Grenoble, où elle vivait avec 300 autres personnes. La famille est installée depuis plusieurs années dans la région, où les enfants sont scolarisés.

La scène s'est déroulée vendredi 11 septembre.
Si les altercations entre Rom et riverains ne sont pas inhabituelles, notamment lors d'évacuations de campements, cette expulsion s'est déroulée dans une atmosphère particulièrement tendue et en dehors de tout cadre légal. La présence d'une caméra ne calme pas la colère de la foule.

A l'appel du propriétaire du bâtiment squatté, quelques dizaines de personnes se sont réunies devant la maison,
avenue Romain-Rolland. Elles secouent le portail, lèvent les poings, hurlent – "on veut rentrer !" Certains tentent de s'opposer à la foule mais le dialogue est impossible. Les insultes fusent.

Quinze jours plus tard, une rafale de balles
Une dizaine de coups de feu aurait été tirée. L'homme a été atteint par trois (voire quatre) projectiles et est mort sur le coup, son véhicule Scénic continuant à reculer sur quelques mètres. Selon Le Dauphiné, huit balles auraient été tirées lors de ce règlement de comptes.
Cette affaire, qui n'est pas liée aux règlements de comptes enregistrés ces dernières semaines dans l'agglomération de Grenoble, mais plutôt à la guerre des gangs qui avait ensanglanté le milieu grenoblois en 2007, notamment.

Toni Musulin
 a fait la 'renommée' de la ville

Ce convoyeur de fonds d'origine yougoslave avait effectué un chargement à la Banque de France au cours de sa tournée, avant de disparaître dans la nature, laissant ses deux collègues convoyeurs sur place. Il avait détourné 11,6 millions d'euros à Lyon. Des internautes lui consacrèrent une dizaine de sites internet et de groupes Facebook en le présentant comme un 'héros', face aux banques qu'ils jugeaient responsables de la crise financière: on est en 2009. L'affaire a inspiré un téléfilm...

Il n'est pas exclu que le maire communiste de la commune accueille des migrants syriens.

Hagiographie du président socialiste par France 3: le service public n'amPUTE pas le budget com' de l'Elysée

"Un temps de président", un documentaire "dans l'intimité de l'Elysée": interdit aux moins de 16 ans ? 

De l'utilité d'un service public dédié, mais pourtant entretenu par tous les redevables... 

Caleçon, boxer ou suspensoir ?
Le documentaire d'Yves Jeuland permet d'en apprendre un peu plus sur le "pouvoir" et l'intimité du président François Hollande, hors caméras ! Fouille-t-il le panier à linge de François Hollande? Il sera en tout cas exposé lors de la diffusion, ce lundi soir à 20h50, en début de soirée, sur France 3, chaîne publique de France Télévisions. 

Le réalisateur a surtout présenté des films portant sur l'engagement politique. Il retrace notamment l'histoire des communistes français, puis celle des socialistes, après avoir suivi entre 1999 et 2001 Bertrand Delanoë, Jean Tiberi et les autres protagonistes de l'élection municipale de 2001 à Paris. En 2010, il avait accompagné le socialiste Georges Frêche dans son ultime campagne politique pour un film intitulé Le Président. Militant bienvenu au PS caméra au poing, il ne faut donc pas s'attendre, lundi, à une commande du parti Les Républicains... 
Serons-nous invités à La Lanterne et reçus par la concubine présidentielle à la résidence présidentielle contiguë au château de Versailles (cinq chambres en étage avec chacune sa salle de bain et donnant sur le parc royal): elle est davantage au goût du président Louis XV que le fort de Brégançon ? La Lanterne fut édifié en 1787 par Philippe Louis de Noailles, prince de Poix (qui donna probablement les mots "poisse" et "poisseux" !), mais le suspense est torride.

Sous les ors de la République 

Yves Jeuland a suivi François Hollande dans quelques moments clés de son quinquennat. Durant quatre mois, d'août à septembre 2014, puis de novembre 2014 à janvier 2015, le réalisateur a pénétré seul, avec sa caméra, la vie quotidienne du palais présidentiel. Une immersion riche en révélations et en anecdotes, lors de temps forts du mandat: le remaniement du gouvernement Valls II ou les attentats de janvier. 

Mission d'Yves Jeuland: offrir au peuple un François Hollande sans fard 
A qui le veut bien, les services de la communication de l'Elysée nous proposent peut-être comme un privilège d'assister en interne aux rétropédalages, reculades et renoncements du chef de l'Etat. Au risque de ne pas être cru, Jeuland prend les devants, affirmant dans un entretien au service public de Francetv Info, que l'Elysée n'aurait eu aucun droit de regard sur le résultat final de son travail. "Je leur ai dit que je ne les trahirais pas, qu'il n'y aurait pas d'images volées, mais que, en échange, je tenais à ma liberté", explique le réalisateur. Mais ne faut-il pas qu'il soit particulièrement godillot pour que le suspicieux François Hollande lui fasse confiance. Mais alors, quel est l'intérêt de passer 90 minutes à son hagiographie compensatoire à son impopularité ? 

"D'ailleurs, ils n'ont découvert le film qu'une fois terminé", se défend-il par avance.
Par conséquent, son documentaire n'aurait rien de complaisant. Serait-il donc implacable, par hasard ? François Hollande y apparaîtrait, tel qu'en lui même, nous promet-on, mais este-vendeur, un Pépère aussi peu charismatique au naturel ?
Le réalisateur nous associera à des prises de décisions déjà actées (ou en passe de l'être...) Typique de Hollande, en effet ! Les morceaux choisis seront des moments parfois délicats, comme lorsqu'il rencontre la famille de d'Ahmed Merabet, policier tué au cours de l'attentat contre Charlie Hebdo. Ou bien quand il apprend par téléphone la libération de l'otage français au Sahel, Serge Lazarevic. Nous serons donc clairement dans l'émotionnel...

Mais il y a aussi des instants plus "pathétiques". 
Référent culture du PS, Jack Lang danse la Tecktonik et "fait la chenille" dans "Touche pas à mon poste": pas facile, à 76 ans, de vivre dans la dignité
L'Elysée fait par exemple  filtrer celui où, avec son Premier ministre Manuel Valls, François Hollande conseille la nouvelle occupante de la rue de Valois, Fleur Pellerin. 
Gracieux déhanché !
"Vois Jack, il a des idées !", lui lance le chef de l'Etat, à propos de Jack Lang, prédécesseur de Fleur Pellerin à la Culture, et référence socialiste. "Et va au spectacle. Tous les soirs, il faut que tu te tapes ça. Et dis que 'c'est bien', que 'c'est beau'", renchérit-il, rappelant ainsi que la politique est toujours affaire de diplomatie, et que lui n'est pas particulièrement amateur de culture. Même pas d'agriculture. 
Avec le recul, la leçon a été bien apprise: la ministre ne lit pas - même pas  Patrick Modianoprix Nobel français de littérature 2014 -  et se rend à l'Opéra avec Hollande, pendant le show médiatique de son premier ministre sur... France2, vous l'avez deviné, chaîne... publique de télévision ! Avaient-ils en effet prévu que Valls déplairait encore et ne pourrait, de surcroît,  s'empêcher de se friter avec quelqu'un - et ce fut la journaliste qui le chatouilla sur du non-écrit et négocié au préalable ?
Depuis, Pellerin donne tout son coeur à l'art vivant

Un dialogue intime et inédit qu'Yves Jeuland a dû capter sur instructions. 
Le réalisateur n'est pas fier du rôle que lui assigne l'Elysée. Il déploie une série de bobards qui pourraient rendre son oeuvre de commande crédible. "Il a fallu trouver le bon équilibre entre la confiance nécessaire de leur part et la distance à garder, de ma part", analyse-t-il pour Francetv Info. 
La chaîne d'Etat joue sa partition estimant que "rendre authentique la personnalité du président de la République a été d'autant plus simple qu'Yves Jeuland était seul à le suivre", sans témoins des répétitions et des coupures. Ainsi, "j'ai su me faire le plus discret possible", souligne-t-il. 

Le communicant Gaspard Gantzer est d'ailleurs omniprésent 
Outre le président, un autre personnage est au coeur du documentaire d'Yves Jeuland: c'est Gaspard Gantzer, le conseiller en communication du chef de l'Etat depuis avril 2014, ci-contre. Entre les ballets incessants d'élus et de conseillers, le trentenaire -qu'il tutoie sans complexe- apparaît sur presque tous les plans du documentaire. Un jeune loup pas loin d'éclipser Jean-Pierre Jouyet, le secrétaire général à l'Elysée très proche de François Hollande, mais qui peine à relire les discours du président, comme le montre un passage du documentaire.

Merci pour ce moment de silence 
Hormis la conversation de François Hollande avec Fleur Pellerin, peu de femmes sont représentées à l'écran. Seule l'allusion "fortuite" (sic) à l'ex-concubine du président, Valérie Trierweiler, satisfera les amateurs de presse people, au risque de souligner l'intention racoleuse du doc. "On y voit" (sic) François Hollande, assis dans une voiture, apprendre la sortie de son bouquin 'Merci pour ce moment'. Le temps se suspend un moment, puis, François Hollande se replonge dans la lecture de Modiano  du journal L'Equipe. 
Interrogé sur l'omniprésence du mignon de l'Elysée et l'absence de femmes au sein du documentaire, Yves Jeuland admet en avoir peu croisé à l'Elysée. "Il s'agit vraiment d'un monde d'hommes. Mon film est le reflet de la réalité." Alors que le gouvernement Valls se veut paritaire, le palais présidentiel, lui, ne l'est pas.  La secrétaire d'Etat chargée de tous les âges de la vie à la fois, la féministe Laurence Rossignol s'en étrangle ! En silence...

Pas sûr que Gantzer sorte renforcé de cette opération et que Delphine Ernotte l'assume de gaieté de coeur.